Avec les dizaines de groupes engagés, dont certains comptent deux cents membres et plus, la ville est littéralement envahis de personnes en costume coloré. De tous âges. Car la particularité de ces groupes est de prendre n'importe qui, dès le moment qu'il est capable de suivre la chorégraphie.
La scène du château paraît un bon plan, et j'avais cru comprendre que les démonstrations commençaient à 11:00. C'est en fait à 13:00, et je pars peu après 14:00. Je quitte cette fournaise où j'ai cuit en vain.
Le parc du château est aménagé pour que les groupes puissent en emporter une photo de famille.
La célébrité du Yosakoi Matsuri, un des deux grands festivals de danse du Japon (avec l'Awa-Odori de Tokushima), est telle qu'une statue est érigée en son honneur.
Je réussis à comprendre les indications qu'on me fournit et à trouve un des shotengai où se produisent les groupes ; même principe qu'avec l'Uraja de Okayama, c'est ici une chorégraphie de marche, où les danseurs suivent le camion qui diffuse la musique, avec des chanteurs au sommet.
Les chorégraphies durent longtemps car il faut danser sur les centaines de mètres des galeries. Les groupes doivent en avoir plusieurs à leur répertoire, en fonction des lieux où ils se produisent.
Rien ne vaut quelques extraits pour se faire une idée. N'oubliez pas que vous pouvez agrandir les vidéos en cliquant dessus.
Une dernière, avant de quitter Kochi, sur la place de la gare, depuis la fenêtre de mon train !
Quelle organisation !Loger, nourrir tout ce monde. Quand je pense aux difficultés qu'il y avait à Martigues pour gérer le festival avec nettement moins de danseurs
RépondreSupprimerDans ce cas-là, les danseurs dorment dans les hôtels. C'est la première cause de l'occupation maximale des hôtels !
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