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dimanche 30 juin 2019

Paris : La Forza del Destino (La Force du Destin) à l'Opéra Bastille


J'adore La Forza del Destino, un des opéras de Verdi que j'aime beaucoup, qui contient un des plus magnifiques chœurs, avec des airs poignants. Malheureusement il n'est pas si souvent donné et je n'ai pas encore vu de proposition scénique que je trouve complètement passionnante. Je serai bien allé à Londres entendre la superbe distribution réunie par Covent Garden !
Mais je suis déjà ravi de l'entendre ce soir à l'Opéra Bastille.

La production de Jean-Claude Auvray



J'ai beaucoup vu, quand j'étais jeune, des productions de Jean-Claude Auvray, depuis la Tosca parisienne avec Pavarotti jusqu'à un grand nombre dans les théâtres du sud de la France. Une Forza del Destino, justement, à Orange, en 1996, à laquelle ce spectacle-ci ressemble beaucoup.

samedi 29 juin 2019

Paris : Eglise Saint Germain des Près


Je me suis interrogé pour savoir si je refaisais un article sur Saint Germain… J'avais déjà mis quelques photos lors de mon précédent passage, alors que la restauration était bien moins avancée. Et de toute façon, les travaux ne sont pas achevés. Je reviendrai évidemment quand tout sera terminé mais j'ai tellement été ébloui par ce nouveau visage que je tenais à publier cet article, disons intermédiaire.

Paris : Eglise Saint Thomas d'Aquin


Voici une église où je n'ai pas mis les pieds depuis plusieurs années, et mon tour d'horizon des églises parisiennes sur le blog me fournit une bonne occasion.

vendredi 28 juin 2019

Paris : Exposition Mimesis (Marlov Barrios) à la Maison de l'Amérique Latine



Après l'exposition de David Solis, je poursuis ma visite dans la Maison de l'Amérique Latine.
Marlov Barrios est un artiste du Guatemala, pays dont la visite m'a laissé de vifs souvenirs. Il a monté ici une installation éphémère, avec une peinture réalisée directement sur les murs, qui sera vraisemblablement détruite ensuite.

mercredi 26 juin 2019

Paris : Exposition David Solis à la Maison de l'Amérique Latine



La Maison de l'Amérique Latine occupe depuis l'après-guerre deux magnifiques hôtels particuliers du boulevard Saint-Germain, ceux d'Amelot de Gournay et de Varengeville. Ils appartiennent à la Banque de France qui les loue à ce centre très actif, qui propose très régulièrement des expositions gratuites. L'occasion de découvrir des artistes de ces contrées, mais aussi de Français voyageurs !

Paris : Exposition Marian Plug (Fondation Custodia)



Je n'ai jamais entendu parler de Marian Plug, comme c'est presque toujours le cas des artistes récents que présente la Fondation Custodia. J'apprends que cette dame est née en 1937, a suivi une formation aux Beaux-Arts à Amsterdam, dont elle s'est ensuite écartée. Le cartel la qualifie de "romantique de son temps" en soulignant que le paysage est son sujet de prédilection, et qu'elle n'y inclut jamais de personnage. La seule vue urbaine, présentée en fin d'exposition, est d'ailleurs une autoroute, et traitée comme un paysage.

Paris : Frans Hals, Portraits de famille (Fondation Custodia)


Après l'exposition Enfants du Siècle d'Or, je reste dans la période avec ce peintre majeur du XVIIe, sans doute un des plus avancés aux Pays-Bas avec Rembrandt, un de ceux qui ont énormément compté. Les Impressionnistes, dont Manet, l'admiraient beaucoup. Van Gogh écrivait son admiration devant "les têtes, les yeux, le nez, la bouche, faits des premiers coups de brosse, sans retouches quelconques".

Paris : Exposition Enfants du Siècle d'Or (Fondation Custodia)


La Fondation Custodia



La Fondation Custodia est une fondation privée qui accueille la collection de Frits Lugt et de To Lugts-Klever, riche ensemble de dessins, gravures et peintures hollandaises, avec évidemment une large partie centrée sur le XVIIe siècle. La plupart des grands noms y figurent ainsi que beaucoup d'artistes moins renommés et les expositions qui s'y tiennent sont toujours l'occasion de découvertes. Dans ce bel Hôtel Turgot, une opulente construction du XVIIIe siècle juste derrière l'Assemblée Nationale, les expositions historiques qui puisent dans ce riche fonds sont toujours associées à la présentation d'artistes récents. C'est toujours une visite agréable, d'autant plus que le lieu n'est pas très connu et on y est généralement assez tranquille.
Ma dernière visite en 2016 m'avait permis de voir un bel ensemble de paysages et de découvrir l'œuvre de van Ruyssevelt.
Aujourd'hui, plusieurs expos s'y tiennent simultanément.

Paris : concert Uto Ughi, Bruno Canino (Institut Culturel Italien)


L'offre est pléthorique à Paris pour cette Fête de la Musique, mais concernant la musique classique, c'est comme d'habitude, le choix est plus restreint. J'ai sondé longuement les annonces, ai hésité avec le concert de l'Orchestre de Paris et Janine Jansen au Louvre, mais finalement c'est celui offert par l'Institut Culturel Italien qui m'a tenté.

samedi 22 juin 2019

Paris : Exposition Toutankhamon, Grande Halle de la Villette


Cette exposition Toutankhamon est apparemment un gros coup médiatique. Voilà des mois que j'en entends parler, que je vois des couvertures de magazines qui lui sont consacrées, et que je connais foule de gens qui l'ont vue. Absolument indispensable de réserver. D'ailleurs, je n'ai même pas vu de billetterie, ici. On se positionne directement dans les labyrinthes, d'un côté pour les entrées à l'heure, de l'autre pour celles à la demie.

samedi 15 juin 2019

Paris : Exposition Vasarely au Centre Pompidou


Je suis très content de voir cette exposition, Le Partage des formes, que le Centre Pompidou consacre cette année à Vasarely, un artiste qui fut un peu méprisé, sans doute un peu oublié aujourd'hui, mais dont l'empreinte reste bien présente, ne serait-ce qu'avec le logo de Renault que chacun peut voir dans la circulation routière.

Moscou : L'appartement d'Andreï Biely, immense écrivain russe


J'ai acheté le billet combiné qui me permet de visiter la maison de Pouchkine et l'appartement d'Andrei Biely, deux grandes figures littéraires russes. Mais dont la renommée diffère ; si celle de Pouchkine a traversé les frontières, Biely, pourtant un des immenses auteurs mondiaux, reste méconnu.