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mardi 31 juillet 2018

Tokyo : péripéties et exposition d'architecture


Péripéties 

Avec la grâce du somnifère administré hier soir, j'ai bien dormi et j'espère ne pas souffrir des dégâts du décalage horaire.

lundi 30 juillet 2018

Etapes jusqu'à Tokyo


Première : Arles



 J'ai découvert qu'un train reliait Vitrolles, d'où une navette desservait commodément l'aéroport de Marignane. Inutile de déranger mes parents pour m'y amener, mais il a fallu cependant qu'ils m'accompagnassent à la gare arlésienne.

Montpellier : Photos d'Hitler, les ghettos de l'Est



C'est un acte de courage que cette exposition-ci. Il semblerait que le sujet soit tabou, comme si montrer des photos revenait à une célébration hagiographique ! La publication de Mein Kampf a été l'occasion d'un vif débat, et il est absolument hors de question de monter le moindre musée Hitler.

vendredi 27 juillet 2018

Festival de Montpellier : Kassya de Delibes

Alexandre Duhamel, Michael Schønwandt

Grande spécialité du Festival de Radio-France, surtout dans l'ère Koering, la redécouverte d'opéras oubliés. Cela a valu nombre de soirées mémorables (un Crociato in Egitto, un Sigurd, un Rienzi de haute volée parmi tant d'autres), quelques déceptions (L'Ombre de l'Âne de Richard Strauss aurait pu rester méconnu) mais beaucoup de chefs-d’œuvre ont été ainsi dévoilés, de la Turandot de Busoni au Macbeth de Bloch…

Festival de Montpellier : Dalberto et Goerner

Deux pianistes sinon rien !
Curieuse idée de programmer deux pianistes dans la même soirée, avec des programmes bien différents même si on peut trouver des correspondances.
Mais deux grands artistes, au jeu personnel et très intériorisé, avec un choix de grandes pièces. Voilà de quoi se réjouir !

Michel Dalberto




Festival de Montpellier : Mortensen, Nuti, Haas et de Pasquale pour Scarlatti


Le Festival de Radio-France, devenu Radio-France-Montpellier-Occitanie, a toujours été un endroit imaginatif, lieu de paris audacieux et de recréations souvent captivantes.

J'y suis fidèle depuis la création et ces soirées emplissent mes souvenirs…

L'un des paris de cette année est, à ma connaissance, une vraie première. Voilà trente ans, Scott Ross enregistrait dans la région l'intégrale des sonates de Scarlatti, un enregistrement de référence qui a fait date.

Partant de cet anniversaire, l'idée est de proposer à nouveau une intégrale, mais en l'éclatant sur les lieux du Festival, de Bournazel à Saint-Céré, de Fourques à Perpignan. Trente-cinq concerts, trente-cinq clavecinistes s'y collent. Une belle entreprise, même si la répartition géographique la rend un peu difficile à suivre. Mais j'avaus à côté de moi un passionné qui a réservé pour tous les concerts !

Aix : Exposition Nicolas de Staël en Provence à l'Hôtel de Caumont




L'Hôtel de Réauville, dit Hôtel de Caumont, fut construit à Aix dans la première moitié du XVIIIe siècle. C'est Robert de Cotte, l'architecte de la chapelle du Château de Versailles, qui fut chargé de cette réalisation. Parmi les réalisations de ce prolifique créateur, on trouve la Place Bellecour de Lyon, le Palais du Tau de Reims, ainsi que de nombreux palais épiscopaux.

Festival d'Aix : Dido and Æneas (Didon et Enée)



Un nouveau contexte



Dido and Æneas, cette splendeur de l'opéra du XVIIe siècle, est bien courte pour assurer toute une soirée d'opéra. On a demandé à Maylis de Kerangal d'écrire un prologue parlé, simplement accompagné par quelques notes de guitare, dans lequel Didon prend la parole. Elle y déroule sa biographie tumultueuse, explique comment elle a dû manoeuvrer, batailler pour parvenir à ses fins. Un personnage pas très sympathique, alors qu'on est généralement porté à la compassion envers la pauvre amoureuse délaissée (et le sublime lamento de Purcell nous y aide beaucoup).

Festival d'Aix : Die Zauberflöte (La Flûte Enchantée)




Je ne m'y attendais guère, mais c'est finalement cette reprise qui a constitué le clou du Festival d'Aix. Bernard Foccroule ne s'y était guère trompé, en choisissant cette soirée pour sa dernière !

jeudi 26 juillet 2018

Festival d'Aix : Seven stones, une création




On a toujours un peu l'impression de vivre un moment particulier quand on assiste à la création d'une œuvre, et dans mon cas, toujours un peu plus passionnément quand il est question d'opéra.

Festival d'Aix : Ognenny Angel (L'Ange de Feu)




Jadis invisible, cet opéra qui mêle deux opposés, le profane et le sacré, le mystique et l'érotique, est devenu plus courant sur les scènes.

Je l'ai découvert en 1986 à l'Opéra Garnier, qui l'avait courageusement programmé avec Livia Budai et Franz Grundheber,  (et l'extraordinaire sorcière de Viorica Cortez), puis dans les premières années de l'Opéra Bastille où Marylin  Zschau côtoyait Philippe Rouillon dans une production d'Andrei Serban dirigée par Lawrence Foster. Ensuite ce fut une tournée du Mariinsky avec l'intense Larisa Gogolevskaya, puis Londres avec Tatiana Smirnova, Berlin…

Festival d'Aix : Ariadne auf Naxos (Ariane à Naxos)





Le Festival d'Aix ouvrait cette année avec ce spectacle singulier, que j'ai eu la chance de voir à trois reprises. Auparavant, avec mes élèves, j'avais pu visiter les ateliers du Festival où sont construits les décors.

Paris : La Tempête à la Comédie Française



Mon premier Shakespeare !

J'ai déjà écrit ici mon admiration pour Shakespeare, et toutes les occasions sont bonnes pour voir des représentations de ses pièces.

C'est avec The Tempest, La Tempête, que j'ai commencé, une lointaine représentation d'adolescent, en anglais, avec le mémorable Footsbarn Travelling Theatre dont une des tournées s'était arrêtée dans ma ville natale d'Arles. C'est, avec King Lear, la pièce du bon Will que j'ai vue le plus souvent. 

samedi 7 juillet 2018

50 000 !

Les merveilles de Jaisalmer au Rajasthan, un de mes plus grands coups de cœur de voyage !

En fait, c'est presque 60 000 pages vues à ce jour ! J'étais débordé de travail quand, début juin, la barre des 50 000 a été franchie et je profite de ce premier jour de vacances pour enfin réaliser cet article.