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dimanche 18 août 2019

Kyoto : Du palais impérial à la Promenade des philosophes


Ce matin, je papote un bon moment avec une famille française et, du coup, je décolle tard. Je ne veux pas perdre une heure supplémentaire pour rallier ma première destination, d'autant plus que ce sera une bonne journée à pied. Opération métro pour débuter une splendide journée de visites sous le soleil !







C'est pratique. Le plan indique les tarifs en fonction de la destination. Et comme on est à Kyoto, presque tout est bilingue.


Pour moi, 260 yens. La machine permet toutes les opérations, y compris recharger sa carte IC.


Je descends au nord du palais impérial. Il fait beau, et corollaire : il fait très très chaud !



Je ne parcours que cent mètres dans le parc, juste pour apercevoir le palais. Et je repars dans la direction opposée.


Je suis entouré par les bâtiments de l'université, dont certains affectent la mine de british college !



Ma première visite est pour le Shokoku-ji, un des cinq grands temples zen. Compléter la liste était un des objectifs de ce voyage !


Le Musée Jotentaku et ses beaux paravents est caché à l'intérieur.


Je repars avec un soleil terrassant. C'est dimanche, il est tard ; le déjeuner dominical ne saurait attendre plus longtemps.


En fait, il va devoir attendre. Parce que je ne vois aucune gargote à l'horizon !


Du franponais, oui, en revanche.



Oh! Un shotengai inconnu. Je vais pouvoir racheter une serviette, j'ai perdu une des miennes.


C'est la vie. Sans doute une des formules françaises les plus connues de par le monde.




Pas cher du tout !

Bon, j'ai une serviette à moins d'un euro, mais toujours le ventre vide. Je désespère.



Ah, youpi ! Bon, c'est un restaurant de friture. J'aurais volontiers mangé des sushis ou des yakitoris, mais c'est vraiment introuvable ici.



Ce n'est pas si mal. Le panko est très croustillant, le chou craque sous la dent, la soupe miso contient de la courgette crue (pas désagréable !).


Le riz est mélangé à du blé, ça me plaît toujours autant.


1160 yens pour tout cela. Je peux reprendre ma randonnée urbaine.


Burka japonaise.


Queue à la pâtisserie.


Voilà l'objet des convoitises générales.

Je poursuis mon chemin. Je suis repu !

En ce dimanche, les étals se suivent et les magasins de plantes sont aussi ouverts.




Et la Kamo-gawa fait le bonheur des familles !






J'ai trouvé sur la carte ce temple dont je n'ai jamais entendu parler. Mais j'ai du mal à le dénichoer dans le quartier. Il me faut demander.

Finalement, c'est un temple très intéressant que ce Hyakumanben Chion-in !


Ce sanctuaire de carrefour bénéficie d'un succès étonnant.



Et un petit canal de plus ! Pour moi, cela fait partie intégrante du charme du Japon.





Je voulais retourner au Ginkaku-ji, et c'est une bonne idée tant cette seconde visite diffère de la précédente.



Un engin encore jamais vu, qui presse l'orange de l'intérieur. Je vais un peu plus loin.


Peu de glaces cette année, et peu d'expériences de ce côté-là.
Aujourd'hui, thé vert et shiso. Super-bon !
Ca devrait donner des idées à Berthillon !


Et là aussi, que de parfums tentants !

La Promenade des Philosophes



Connue aussi sous le nom de Promenade de la Philosophie ou de Promenade du Philosophe, c'est un délicieux chemin au bord d'un petit canal entouré d'arbres, que je m'étais promis d'emprunter de nouveau.


Le paysage change constamment, on n'est jamais lassé.



Tiens, une grosse bête. Plus de cinquante centimètres.



Ca, c'est une instrumentiste de haut niveau.







Bucolique et campagnard tout à la fois.





Un sanctuaire, au passage, pour ne pas perdre la main.




Bebête n°2.



Suite dans le prochain numéro avec le quartier du Heian-Jingu

2 commentaires:

  1. Wonderful article! Such a pleasure to travel in your pocket...
    Outstanding, once more!
    Annie

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    Réponses
    1. Thanks, dear Annie! Such a pleasure to read again your kind messages!

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