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dimanche 4 août 2019

Tottori : Promenade et fête !


Tottori, la ville du sable, qui abrite un fabuleux musée de sculptures de sable... Et j'y arrive le jour de la fête locale !




Première opération de la journée, le trajet Kobe-Tottori en train, non sans mal !


Je cherche à déjeuner dans la gare.


Un restaurant propose un menu du jour. Bizarrement, tout est servi sur une seule assiette, avec un potage de légumes. Un hachis de viande aux poivrons tient lieu de plat principal.



Deuxième étape, trouver l'hôtel. Je passe à l'Office de Tourisme récupérer un pass de bus pour le lendemain, vérifier la direction et c'et parti !


Un chameau sert d'animal emblématique pour cette ville fameuse pour ses dunes. Celui de la préfecture est un canard mandarin, mais je ne le vois pas représenté.


Pour les plaques d'égout, on est servi en couleurs !




City Hotel





Je suis très gentiment accueilli et, pour une fois, je peux déjà prendre possession de ma chambre.


Elle est plus grande que la majorité des chambres japonaises. Confortable. Hélas, la wi-fi très capricieuse me posera bien des problèmes pour saisir le blog, ce soir !



Bouilloire et thé, c'est parfait ! Je peux repartir.

A la découverte de la ville




Ce centre-ville me laisse une curieuse impression. Kimonos de prix, certes, mais un air de bourgade qui ne s'accorde  guère avec une préfecture, une ville de 200 000 habitants.


En outre, cela ne respire pas la richesse et les façades ne sont pas dans un excellent état. Je parcours, à priori, l'avenue principale, je précise !



On aperçoit la "montagne" avec les vestiges du château. Pour plus tard !



Tout va bien. En cas de pépin, on sait où aller.


La mairie non plus ne semble pas spécialement opulente.


La préfecture, davantage. Le bâtiment paraît plus récent.



Un petit sanctuaire niché dans un bosquet. Il n'y a pas grand chose à voir mais je m'approche tout de même.




Ma première visite est pour cette villa historique en bois, le Jinpukaku.


Je poursuis avec les vestiges du château, au-dessus.




Je continue ma promenade à la découverte de cette ville.


J'ignore tout de ce système de protection des fils électriques. De loin, j'avais l'impression de bambous disposés entre les poteaux.



Le franponais montre ici une nette inventivité !



Le Wakabekan s'avère un centre culturel où se tiennent des concerts. Il est réputé pour ses activités chorales.


Détente assurée ! Très confortable.


Dîner



Je n'ai pas encore aperçu de restaurant. Je saute sur le premier, ayant repéré l'indice des noren, ces pans de tissu à l'entrée.



Je goûte une spécialité : un bouillon, généreusement garni de soba maison, ces spaghetti de sarrasin.  Outre les grosses échalotes locales, le goût est fourni par des tranches de kamo, le canard, enrobées de poivre noir. Délicieux.



D'autres douceurs sont disponibles plus loin.



La région produit des nashi, associés ici à la poire, paraît-il très parfumés.

La fête à Tottori



Alors que je m'apprête à rentrer à l'hôtel, un regroupement m'arrête.


Au centre de la rue, des fleurs artificielles prises dans d'énormes glaçons suscitent la curiosité.


C'est très siple et bon enfant, cette affaire. On peut se procurer son bébé carpe.


Mais surtout, évidemment, manger un peu partout. Les stands s'alignent au long de la rue.




Le Tariquet, ce vin du Sud-Ouest, est visiblement célèbre. Je vois sans cesse ces ardoises, apparemment distribuées généreusement.



Un stand d'artisanat met ses lanternes onéreuses en évidence.


Kimono et distributeur de boissons, une image du Japon !


Les takoyaki, ces boules de pâte à chou fourrées au calamar, se préparent maintenant dans tout le pays.


Une mini-roue de la fortune ! On peut gagner un pistolet à eau. C'est attendrissant de simplicité.


Version roulette.


La municipalité a organisé une attraction avec ses propres ressources, et propose de grimper dans une nacelle !



C'est calme, sans cris ni musique à déchirer les tympans, dans une atmosphère bon enfant. L'absence de hurlements ne me surprend pas, le silence fait partie de la vie, mais cette absence de débauche de moyens me laisse pantois. Les gens sont en outre extrêmement accueillants, me font des sourires. C'est vraiment chaleureux.

Suite des opérations, remplissage des articles du jour avec d'énormes difficultés ! La wi-fi s'avère d'une lenteur de paralytique et ne cesse de s'interrompre. Cela teste mes ultimes ressources de patience. D'ailleurs, je boucle ce dernier le lendemain matin.

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