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Affichage des articles dont le libellé est théâtre. Afficher tous les articles
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mardi 1 décembre 2020

samedi 24 octobre 2020

Bratislava : Exposition Traces and Stances (Arts de la scène)

Après l'exposition Martin Benka, le Château de Bratislava en consacre une autre aux arts de la scène ; si l'affiche centre le propos sur le théâtre, il s'agit d'un projet plus large, qui englobe spectacles de marionnettes, opéra, opérette et comédie musicale.

mardi 17 décembre 2019

Paris : La Souricière (Pépinière Théâtre)


Une pièce d'Agatha Christie


Agatha Christie, c'est un peu un amour de jeunesse. Je dévorais les livres quand j'étais petit et j'avalais à la chaîne les titres des Bibliothèques Rose puis Verte. Je suis passé du Club des Cinq à Alice Détective (quelle déception lorsque j'ai découvert que Caroline Quine n'existait pas !) puis à Agatha Christie dont j'avais lu quasiment tous les romans à quatorze ans. Et certains, relus et re-relus. Et je ne renie pas aujourd'hui cette littérature, dont je trouve toujours les romans extrêmement bien construits, avec des personnages solidement dessinés, des intrigues policières impeccables et toujours beaucoup d'humour.

dimanche 29 septembre 2019

Paris : La Puce à l'oreille à la Comédie Française



En ce début de saison, j'ai le plaisir de retrouver une pièce de Feydeau bien rarement donnée, La Puce à l'oreille. C'est, je crois, le premier Feydeau que j'ai vu sur scène, et un de mes tout premiers spectacles au Français.

lundi 1 juillet 2019

Paris : L’Hôtel du Libre-Echange à la Comédie-Française





Pour ma dernière représentation théâtrale de la saison, je retrouve la Comédie Française, et un spectacle que j'avais déjà vu, avec une large partie de la distribution. Je ne l'ai pas raté lors de la captation télévisée, c'est dire si j'évolue en terrain connu.

mercredi 13 février 2019

New York : To kill a mockingbird, Shubert Theatre

Article numéro 400!

Un merveilleux livre


Nell Harper a publié sous le nom de Harper Lee quasiment un seul livre, To kill a mockingbird, traduit en français par Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur.

Elle y raconte trois ans de la vie d'un avocat et de ses enfants, dans un Alabama encore raciste. La grande originalité du livre est le point de vue, celui de la petite Scout, qui ne s'en laisse pas compter. Ce principe, inauguré par Henry James dans Ce que savait Maisie,  est extrêmement bien mené et c'est un régal de suivre l'évolution de cette fillette à la fois très mûre et très innocente, un personnage aussi riche et passionnant que son père, qui essaie d'être intègre dans tous les actes de sa vie.

Mais on découvre en même temps combien le racisme est présent dans les années 1930 dans le Sud, et l'aspect politique et humaniste constitue finalement le vrai sujet du livre.

C'est un chef-d'oeuvre de la littérature mondiale. Si vous ne le connaissez pas, précipitez-vous. Je l'ai relu ces jours derniers avec un immense plaisir.

Nouvelle adaptation

 J'ai découvert en cherchant un peu que ce livre, qui me paraissait inadaptable au théâtre, avait en fait fait l'objet de nombreux spectacles, et c'est même un classique de la scène.

Adapter un roman au théâtre, c'est toujours risqué. La temporalité n'est pas la même, et une bonne adaptation ne peut être qu'infidèle tant les enjeux sont différents. Le premier problème est de savoir trancher correctement. Il me paraît indispensable d'être plus fidèle à l'esprit qu'à la lettre.

Ici, le principe retenu est de retenir le procès comme fil rouge du spectacle, mais découpé en scènes comme s'il s'agissait d'un montage cinématographique. Entre celles-ci s'insèrent d'autres fragments du roman, l'épisode des pantalons, du costume du jambon, le lynchage évité devant la prison...
Certains personnages passent à la trappe, comme la soeur d'Atticus ou Maudie (je le regrette davantage, je trouve que c'est un des plus riches du livre).


Cette succession est rendue possible par une super-production comme on en voit souvent à Broadway, avec une multitude de décors sur roulettes ou qui descendent des cintres, le tout mené avec fluidité.

samedi 13 octobre 2018

Paris : Lucrèce Borgia à la Comédie Française


Pour mon premier spectacle parisien de la saison, je reviens à la Comédie Française.
C'est toujours un plaisir de remettre les pieds dans ce haut lieu bourré de souvenirs.

vendredi 27 juillet 2018

Festival d'Aix : Dido and Æneas (Didon et Enée)



Un nouveau contexte



Dido and Æneas, cette splendeur de l'opéra du XVIIe siècle, est bien courte pour assurer toute une soirée d'opéra. On a demandé à Maylis de Kerangal d'écrire un prologue parlé, simplement accompagné par quelques notes de guitare, dans lequel Didon prend la parole. Elle y déroule sa biographie tumultueuse, explique comment elle a dû manoeuvrer, batailler pour parvenir à ses fins. Un personnage pas très sympathique, alors qu'on est généralement porté à la compassion envers la pauvre amoureuse délaissée (et le sublime lamento de Purcell nous y aide beaucoup).

jeudi 26 juillet 2018

Paris : La Tempête à la Comédie Française



Mon premier Shakespeare !

J'ai déjà écrit ici mon admiration pour Shakespeare, et toutes les occasions sont bonnes pour voir des représentations de ses pièces.

C'est avec The Tempest, La Tempête, que j'ai commencé, une lointaine représentation d'adolescent, en anglais, avec le mémorable Footsbarn Travelling Theatre dont une des tournées s'était arrêtée dans ma ville natale d'Arles. C'est, avec King Lear, la pièce du bon Will que j'ai vue le plus souvent. 

samedi 21 avril 2018

Paris : Poussière de Lars Noren à la Comédie Française





Une pièce de Lars Noren mise en scène par l'auteur


Lars Noren est aujourd'hui l'auteur dramatique le plus joué dans le monde, et il se pourrait qu'il soit un futur prix Nobel de littérature.

Sa création est une pièce chorale, située dans une station espagnole où un groupe de retraités se retrouve. Le sujet est dans l'âge des participants, des seniors dont le nombre diminue progressivement.

vendredi 9 mars 2018

Boston : le port, North End. Boston by night.

Autour du port (Boston Harbour)



La brique était reine dans l'architecture américaine. Ca tombe bien, j'adore ça. Je n'ai pas besoin de stimulant supplémentaire pour poursuivre ma visite.

dimanche 21 janvier 2018

dimanche 29 octobre 2017

Londres : Wallace Collection, Glengarry Glen Ross


De Belgravia à Mayfair


Je ne décolle pas tôt, ce matin. Hier soir, toutes mes photos n'étaient pas chargées et j'ai terminé de saisir mon article ce matin.
Je pars en traversant Belgravia, ce quartier huppé rempli d'ambassades. C'est là aussi qu'Elizabeth George a placé quelque part la demeure de son inspecteur Linley. En tout cas, ça respire titres et fortune, par ici.

samedi 21 octobre 2017

Paris : exposition Redouté, 12 hommes en colère


Voyage tranquille jusqu'à Paris qui me permet de m'avancer dans la correction des copies. Je m'installe dans l'hôtel Au Royal Mad, rue Sedaine, où j'ai séjourné il y a quelques mois

vendredi 11 août 2017

Japon, Tokyo : Kabuki avec Yoshio

En train jusqu’à Tokyo



Hier soir, panique à bord. Je fais une mauvaise manœuvre et efface, par mégarde, le contenu d’un article. Je galère un bon moment à essayer diverses manières de le récupérer, tente plusieurs solutions pour accéder au cache. Ce sont des manipulations que je n’ai jamais effectuées et il me faut deux heures avant d’y parvenir. Résultat, je me mets au lit à deux heures du matin.