Le plaisir de marcher dans New York, vers Bryant Park.
Le plaisir de retrouver ses marques et de jouer au touriste en photographiant les buildings comme si je venais pour la première fois ! Cette ville m'a manqué.
Cette assemblée de drapeaux occupe la Plaza devant F. A. O. Schwartz, célèbre magasin de jouets.
Je ne sais combien de fois j'ai photographié ce bâtiment pavoisé !
En construction. Pour le moment, cela donne une peu rassurante impression d'instabilité.
Bryant Park
Nostalgie européenne sur une façade au bord de Bryant Park.
Le voici justement. Un des plus agréables parcs de Manhattan.
Au fond, c'est la
Public Library, la grande et vénérable bibliothèque de la ville.
Bryant, assis pour l'éternité, est actuellement gratifié d'une floraison fugace.
Déjeuner
La pandémie à mis la restauration new yorkaise à terre. C'est incroyable de constater combien de restaurants ont fermé, pas forcément des moindres. Beaucoup de mes adresses favorites ont disparu.
Je trouve une consolation dans un deli qui me sert un banal mais généreux burger.
Avec une
Bud, bière nationale, c'est une affaire de 18 $. Difficile de trouver mieux. C'est dimanche, en outre.
New York Public Library
Cette fameuse bibliothèque ne renie pas sa ressemblance avec les grandes constructions de la 5th Avenue, comme le Metropolitan Museum. Cossue, abondamment garnie de marbre, prévue pour impressionner et témoigner de la prospérité de la ville.
Tant que c'est pour la bonne cause...
Quoique moins riche que la
Library of Congress à Washington, elle reste un incroyable fonds plein de témoignages variés et de raretés.
Elle est entièrement gratuite, ainsi que ses remarquables expositions.
J'y suis souvent venu, toujours avec plaisir.
La grande rotonde (terme dévoyé selon moi) s'orne de peintures un brin académiques.
Moïse et les Tables de la Loi, une version religieuse du texte.
Cette peinture fut réalisée par Mihaly Munkacsy, un peintre hongrois qui travailla en France ; il reçut même la Légion d'Honneur.
Je l'avais découvert au Musée des Beaux-arts de Budapest, en même temps qu'une multitude de peintres ignorés.
Première expo temporaire,
INTERSECTS, une sorte d'installation joyeuse où les insectes peuplent l'imaginaire de Peter Kuper.
La grande expo du moment étale les trésors du musée. C'est très riche, très varié, assez hétéroclite. Entre la caverne d'Ali Baba et l'inventaire à la Prévert. Il m'a fallu opérer une sélection drastique...
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