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vendredi 29 octobre 2021

Vienne : église des Jésuites (Jesuitenkirche)

 

La fastueuse église des Jésuites à Vienne et ses trompe-l’œil spectaculaires. Visite complète, cette fois !

C'est au milieu du XVIe siècle que les premiers Jésuites arrivèrent à Vienne, donc très tôt puisque Ignace de Loyola avait créé la Compagnie de Jésus en 1540. Ils avaient acquis à toute vitesse une grande réputation pour leurs qualités de pédagogues et leur enseignement fut aussitôt très recherché. Le monarque du moment, Ferdinand I, leur demanda de créer un collège. 

Cependant les Jésuites durent patienter soixante et dix ans avant qu'on construisît cette église, une dont ils seraient les détenteurs.

A ce moment-là, on était, comme à Rome, en pleine Contre-Réforme. Les protestants réclamaient des églises avec moins de faste et un culte plus sobre. La réaction du catholicisme officiel fut d'aller à contre-pied. Non seulement on ne chercherait pas l'austérité, mais on rechercherait le spectacle et on utiliserait le baroque et son expressivité puissante. Au lieu de privilégier la pierre nue, on multiplierait la couleur, l'or, les matières précieuses pour fasciner le fidèle. On l'étourdirait à coup de trompe-l’œil virtuoses.

La façade

Pour ménager l'émerveillement quand le fidèle pénétrera à l'intérieur, la façade affiche une certaine sobriété et limite les couleurs. Malgré tout, on conserve le rythme essentiel  à toute bonne façade : une division horizontale en trois parties, six pilastres engagés qui créent de nouveaux espaces, parfois à leur tour subdivisés en deux. Le fronton à volutes s'encadre de deux clochers qui assurent l'élévation, bien que les bulbes viennois  soient moins efficaces que les flèches gothiques.

C'est dans la partie intermédiaire que sont placées les six seules statues de la façade.

Sainte Catherine avec sa roue côtoie le plus rare Saint Joseph en bon papa. Cette représentation plus rare n'est pas exceptionnelle à Vienne où deux églises lui sont consacrées, la Laimgruberkirche et la Sonnenhofkirche. Dans mon article sur la première, j'avais fait rapidement le point sur le culte de Saint Joseph. Il a droit à une chapelle dans cette église.

Saint Léopold était quasiment obligé puisqu'il s'agissait d'un saint très populaire, saint patron de l'Autriche en outre. On aura l'occasion de revenir sur ce personnage, lui aussi honoré d'une chapelle à l'intérieur.

En haut à droite, Sainte Barbe (ou Barbara) n'est pas très facile à identifier car sa tour est dissimulée derrière son pied droit, alors que c'est le calice doré qui attire l'attention. 

Ces quatre statues du XVIIe siècle sont complétées par celles des deux principaux saints de l'ordre, le fondateur Saint Ignace et Saint François Xavier, datant du XVIIIe.

Le narthex

On n'entre pas immédiatement dans la nef, évidemment. L'espace sous la tribune de l'orgue sert de transition, un narthex sombre qui permet augmentera l'effet de surprise. Pour des raisons religieuses, le passage de l'impur au sacré avait aussi ses logiques, même si ces éléments n'avaient plus alors la même symbolique qu'au Moyen-Age.

Une Vierge à l'Enfant trône sur des nuages en compagnie de putti.

La nef avec sa voûte

La stupeur attendue se manifeste en entrant dans la nef, débauche d'or et de marbres précieux dans des solutions architectoniques variées.

On a fait venir un peintre de Rome, Andrea Pozzo (parfois nommé Andrea del Pozzo), qui a réalisé à Sant' Ignazio un des plus admirables trompe-l’œil de l'histoire. Cet artiste utilise les principes de la perspective développés par Alberti, mais approfondit les calculs géométriques.


Le principe de l'illusion est ici de suggérer une voûte ouverte vers le haut, toute en volumes. Mouvement des corps qui chutent, utilisation des tonalités pour augmenter l'espace, tout est à l’œuvre pour impressionner le fidèle et bouleverser ses sens.

Ici sont représentés le combat des Anges, Jaël tuant Sisera, Simon contre les Philistins.

Dans l'église romaine, il a créé une fameuse fausse coupole qu'il réinvente ici.Tout aussi réussie, peut-être plus encore car celle-ci me semble moins sombre.

La fausse lanterne suggère une fresque de Dieu le Père, tout au "sommet".

Le grand talent de Pozzo est aussi de faire se côtoyer reliefs vrais et reliefs peints, dans les mêmes nuances de couleurs, pour parfaire l'illusion. Il faut bien observer pour remarquer où commence la peinture.

 

Sont représentés en outre des figures allégoriques (Foi, Droiture, Sagesse) puis les portraits des Pères de l'Eglise (Augustin, Ambroise, Grégoire et Jérôme) et enfin les deux saints immanquables, Pierre et Paul.

Pozzo tendait des cordes au sol pour tracer ses lignes en fonction du point de vue. Il paraît aussi qu'il se servait de bougies pour les ombres, mais cette technique apparaît souvent dans les biographies des peintres et parfois ce serait à tort. Je livre l'information avec prudence.

La Gloire des Anges s'accompagne de portraits de prophètes, Jiphtach (Jephté) et Gideon.

 

L'Adoration des Bergers, bien construite, se caractérise par la variété des attitudes et des expressions.



Une petite scène intermédiaire avec la Vierge à l'Enfant dans un paysage : il s'agit évidemment de la Fuite en Egypte.

Enfin, au-dessus du maître-autel, c'est la Trinité qui est bien différenciée. Principe religieux affirmé avec force par les Jésuites, notamment dans la prédication de leurs missionnaires. Rien d'étonnant de la trouver à cette place d'honneur.

A la tribune, au-dessus de l'entrée, les orgues resplendissent. Je suppose qu'on a calculé la disposition des tuyaux pour laisser passer un maximum de lumière.

Le maître-autel supporte un retable d'Andrea Pozzo, L'Assomption de la Vierge. Pas de jeux illusionnistes ici mais un beau travail de la lumière et une construction serpentine audacieuse.

L'abside comprend aussi des parties privées pour que nobles et monarques puissent assister à l'office sans se mêler à la populace, évidemment ! La serpentine semble avoir été mise à profit.

La chaire

La chaire paraît largement rococo avec ses effets de guirlande. Je n'ai rien trouvé dessus mais je la daterais bien du XVIIIe.


On est tellement sidéré par cette accumulation de guirlandes qu'on ne remarque pas tout de suite le quatuor avec livres obligés. On a le choix entre Pères de l'Eglise, Evangélistes, plus simples membres de l'ordre. 

Il m'a fallu revenir pour vérifier ; en fait, deux seulement des quatre sont clairement munis d'attributs ; le taureau de Saint Luc, et le lion de Saint Marc.


Quant aux deux autres, je cherche en vain l'homme ailé et l'aigle.


 

Le toit est abondamment garni, et orné au sommet d'une inhabituelle statue rayonnante.

  Même le dessous de la chaire est luxueusement travaillé en marqueterie de nacre.

Les bancs de l'église ornés de marqueterie de nacre sont accordés exactement à la chaire. Quel travail !

La nef unique ouvre sur une série de chapelles. Elles sont ornées alternativement de colonnes droites et de colonnes salomoniques (torsadées, comme on pensait que c'était le cas pour le Temple de Salomon), et séparées par des pilastres engagés et cannelés. En outre, la multiplicité des marbres ajoute encore à la variété.

En outre, chaque chapelle comporte, sous l'arcature, un balconnet arrondi qui crée du relief.

Et on aperçoit un trompe-l’œil à la voûte, à chaque fois différent. Tout est fait pour ne jamais lasser.


La chapelle Saint Ignace

La Vision de Saint Ignace est un élément de l'iconographie traditionnelle du saint ; durant son pèlerinage, il lui semble voir le Christ portant sa croix. Il n'en faut pas davantage pour créer une vision divine. Le retable du XIXe fut réalisé par un peintre nazaréen inconnu. Ce mouvement, né dans les pays germaniques et développé ensuite en France et surtout en Italie, est à la base de maintes peintures religieuses.


 En bas, le Sacré-Coeur de Jésus est une peinture de Leopold Kupelwieser, un ami de Schubert qui exécuta plusieurs de ses portraits, parmi les plus célèbres.


Ici est illustrée la mission de Saint François-Xavier, le père des missionnaires.

Saint Ignace devant la Vierge, classique ensemble de Vierge avec un saint. Peinture anonyme et assez peu nuancée.

La chapelle des Anges Gardiens

Peu d'indications iconographiques. La prédelle du XVIIIe présente Saint Antoine de Padoue ; quant au retable, la seule information dégotée serait qu'il représenterait un "Ange Gardien". 

On sait que le principe de l'ange gardien remonte à l'Antiquité, présent dans différentes religions ; ce n'est pas la première fois que le christianisme inclut des éléments païens, d'ailleurs (le bon pasteur, la date du 25 décembre me viennent immédiatement à l'esprit). Le concept fut approfondi dans la patristique, les textes des Pères de l'église, et il retrouva un succès soudain au XIIe siècle dans les textes d'Honoré d'Autun. L'idée de l'ange gardien qui protégerait la personne et non la communauté est évidemment très séduisante, et les Franciscains et Dominicains la mirent en avant. C'est finalement le pape Paul V qui décida de l'officialiser dans la religion chrétienne. Les Jésuites, habiles prédicateurs passés maîtres dans l'art de susciter des vocations, ne pouvaient qu'exploiter le concept.

Aucune information sur ce retable où Saint Michel virevolte pour pourfendre les affreux. Bel effet de couleurs avec un rouge éclatant.

On a vu plus effrayant comme créature anéantie par Saint Michel (voir à la Trinité des Monts par exemple) mais je trouve ce diable assez expressif.

Je séchais devant ce retable ; soudain, illumination grâce à la forme de la "maison" en bas  gauche, évidemment la Santa Casa de Lorette, où se serait déroulée l'Annonciation. C'est donc l'Ange Gabriel qui virevolte ici.

La chapelle de Saint Stanislas

Stanislas Kostka, un noble polonais, fut envoyé au collège jésuite de Vienne où il fut remarqué pour sa grande piété. Ses camarades se moquaient de lui pour ses longues prières nocturnes. Lorsque le collège dut fermer, les Jésuites étant tombés en disgrâce, il fut logé chez un luthérien. tombé malade, il demanda la communion mais son logeur refusa la visite d'un prêtre. Stanislas eut alors la vision de Sainte Barbe alors qu'il la priait. Il recouvra la santé, ce qu'il attribua à la sainte. Il décida de devenir jésuite et obtint une recommandation de Francisco Antonio, le confesseur de la cour, auprès de Pierre Canisius, un jésuite allemand. Il s'échappa de Vienne, parvint jusqu'à Dillingen où il rencontra Canisius. Ce dernier lui écrivit une autre recommandation pour François Borja, le supérieur général de l'ordre. Avec deux autres novices, Stanislas marcha jusqu'à Rome, 1500 km tout de même. Il fit son noviciat à Saint André du Quirinal où une chapelle l'honore toujours. Il mourut le jour de l'Assomption, en 1568.

Dans cette chapelle-ci, le retable montre François Borja l'accueillant à Rome.

La prédelle accueille une sereine Sainte Barbe devant sa tour, dans une belle palette de coloris orangés.

Le noble Louis de Gonzague renonça à ses biens et à ses privilèges pour devenir jésuite et son dévouement envers les pestiférés est attesté. Il contracta lui-même la peste et mourut en 1591 à l'âge de vingt-trois ans. Luigi di Gonzaga, Aloysius von Gonzaga selon les langues, est vénéré en bonne place parmi les jésuites sanctifiés.


Les Jésuites étaient connus pour leur activité (leur activisme, faudrait-il dire) dans les missions. L'ordre envoya même au Japon François-Xavier et quelques comparses où leur prosélytisme finit par déplaire aux autorités. Dans l'archipel du Soleil Levant, plusieurs sites rappellent leur souvenir, à Kagoshima et à Yamaguchi notamment. Leur martyre est évoqué dans ce retable rythmé par la verticalité des croix.

La chapelle de la Faculté de Philosophie

Le retable principal présente un Mariage mystique de Sainte Catherine d'Alexandrie. Le mariage mystique avec Jésus enfant n'est en rien une histoire de pédophilie mais une vision, une expérience mystique d'une communion profonde et intense avec un personnage divin. De très nombreux peintres l'ont représenté ; par exemple, les Galeries Barberini de Rome exposent la merveilleuse version de Lorenzo Lotto.

A droite, on trouve curieusement un retable avec Saint Casimir, le Polonais né à Cracovie et mort à Grodno, en Biélorussie ; saint patron de la Lituanie, en outre, dont il était grand duc et où ses reliques sont vénérées (à la cathédrale de Vilnius). Je ne m'explique pas sa présence ici, car il n'est ni relié aux Jésuites, ni à Vienne. Peut-être un des membres de la faculté était-il polonais...

Ici on le voit en compagnie d'un évêque qui le bénit alors qu'il semble tout jeune.

Cunégonde, la femme de l'empereur Henri II (le Boiteux), aurait été calomniée par de vils comploteurs (sans doute parce que le couple avait de sérieux problèmes de fertilité). Cette pieuse dame aurait alors décidé de se soumettre à l'épreuve du feu. Elle aurait ainsi marché pieds nus sur douze socs de charrue chauffés à blanc pour prouver son innocence. Son mari l'aurait prié d'arrêter, mais non, elle tenait à aller jusqu'au bout. Son magnifique tombeau sculpté se trouve dans la non moins splendide cathédrale de Bamberg, en Allemagne.
En tout cas, c'est une scène rare, destinée évidemment à montrer la puissance de la foi.

La chapelle de la Faculté de Théologie

En face de la précédente, la chapelle de la Faculté de Théologie étend le champ à des célébrités chrétiennes, hors de la sphère des Jésuites. Elle expose une dramatique Crucifixion au-dessous de laquelle on voit Pierre Canisius, le Jésuite que Kostka avait rencontré à Dillingen .

A gauche, on a regroupé les Pères de l'église : à gauche, Saint Grégoire avec sa mitre rouge (la colombe est peut-être au-dessus de lui mais je ne garantis rien), Saint Jérôme en ermite du désert dans son inévitable cape rouge. Saint Augustin et Saint Ambroise sont relégués dans la pénombre.

A droite, un saint dominicain, Saint Thomas d'Aquin, dans la robe blanche de l'ordre. Classique construction en élévation pour un retable pas exceptionnellement réussi, et c'est un euphémisme.

La chapelle Sainte Anne

A la prédelle, François Xavier, le Jésuite envoyé en Orient et mort en Chine, vient rappeler l'ordre. Au-dessus, portrait de famille avec Jésus, sa mère Marie et sa grand-mère Anne. Un ange complète le groupe, au cas où le caractère sacré n'apparaîtrait pas suffisamment. Peinture bien peu vigoureuse, pas très bien construite non plus. Bof. 

La Naissance de la Vierge est de meilleure facture ; les personnages restent médiocrement peints mais l'utilisation des couleurs est plus judicieuse et l'espace mieux creusé, grâce à la chaise de biais et à un emploi pertinent de la lumière.

Ici Anne, la maman, apprend à lire à Marie, sa fille. Aucun évangile ne raconte cette scène, qui apparaît au Moyen-Age quand le succès du culte marial demande un peu plus de détails. C'est surtout le Concile de Trente qui va le développer. En France, Anne d'Autriche, reine de France, tient à cœur de favoriser cette scène, peut-être simplement parce qu'il enrichit le personnage d'Anne, lié à son prénom.

On ne soucie guère de l'anachronisme puisque pendant longtemps, Marie apprend à lire dans l'évangile de Jean, évidemment pas encore écrit. Les Jésuites qui œuvrent dans la pédagogie influeront sur le choix d'un abécédaire dans cette scène.

Ici, pas de souci, le peintre n'a pas cherché le moindre détail sur le livre. 

La chapelle Saint Léopold

A Vienne, ce n'est pas étonnant de voir une chapelle consacrée à Saint Léopold, le saint patron d'Autriche et le fondateur de la proche abbaye de Klosterneuburg.

C'est à la fois un personnage politique, margrave d'Autriche au XIe siècle, et une figure liée à la religion qui introduit le monachisme cistercien dans son pays et fonde plusieurs abbayes. Il fut un dirigeant efficace, diplomate habile et administrateur rigoureux, et sans doute sa sanctification a-t-elle surtout obéi à des motifs politiques.

Les peintres suivent leurs commandes et si on leur demande une Apothéose de Saint Léopold, eh bien, on en peint une !

A la prédelle, Saint Jean Népomucène, le saint hâtivement exhumé pour contrecarrer le hussisme en Bohème.

 

 Ce serait la construction de Klosterneuburg... J'ai des doutes. A moins que ce soit l'architecte représenté à genoux, mais il semble bien craindre le margrave dans ses habits de cour. Pas vraiment la scène habituelle avec l'architecte qui montre, souriant, ses plans au commanditaire captivé par ses travaux.

Agnès se promenait avec son époux, le margrave Léopold, quand son voile fut emporté par le vent. La jeune femme était très malheureuse (à l'époque, un voile, c'est hors de prix). Huit ans, après, lors d'une chasse, miracle ! Le voile est retrouvé dans des buissons en parfait état. Léopold décide de fonder une abbaye à cet endroit, ce sera Klosterneuburg.

La chapelle Saint Joseph

Saint Joseph est décidément très apprécié à Vienne, où il a droit à plusieurs églises, dont la Sonnenhofkirche et la Laimgrubenkirche. Ici il est gratifié d'une scène vraiment rarissime, celle de sa mort. Le tableau est sombre et l'éclairage de la prédelle ne le favorise pas, mais le retable ne paraît pas si mal.

Ce Repos pendant la Fuite en Egypte est très récent ; il fut peint par Wolfram Koberl en 1964 ! On ne peut pas dire que l'artiste ait cherché à s'inscrire dans son époque, à moins qu'il s'agisse d'une copie d'une œuvre ancienne.

De l'autre côté, il s'agirait d'une Maria lactans, la Vierge au lait qui sort traditionnellement un sein pour nourrir son petiot.

Si un lecteur a des renseignements que j'ignore, qu'il n'hésite pas à l'envoyer un message. J'ai fait pas mal de recherches pour pondre cet article, qui reste incomplet, et contient peut-être des erreurs.





4 commentaires:

  1. Je suis ravi d'avoir trouvé cet article qui m'a facilité la visite ! Il n'y a rien d'indiquer dans l'église et je ne savais pas ce que représentaient les tableaux. Ce site est le seul qui donne des explications.
    Donc merci beaucoup.
    Mich de Valenciennes

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    1. Vous avez de la chance, Mich, car j'ai publié cet article il y a quelques heures et vous êtes sans doute un des premiers à le lire. Il m'a effectivement fallu faire des recherches, vu l'absence d'informations.
      Merci à vous pour avoir pris le temps de me laisser votre chaleureux commentaire.

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  2. J'ai utilisé cet article pour faire la visite cet après-midi. Très intéressant grâce à toutes vos explications.
    MERCI
    Andrea

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    1. Tant mieux. C'est un grand plaisir de voir que les articles sont judicieusement utilisés.
      Merci Andrea pour votre message !

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