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mardi 31 décembre 2019

Prague : Prodana Nevesta (La Fiancée Vendue) au Narodni Divadlo


Je dois bien avouer avoir un faible particulier pour Prodana Nevesta, ce merveilleux opéra de Smetana si gai, si finement composé, où les airs délicats alternent avec des ensembles exquis (du duo au sextuor, voire plus), où la musique de ballet est tonique et entraînante et les chœurs joyeux, dont l'inénarrable hymne à la bière. Je le verrais bien plusieurs fois par an si c'était possible. Hélas, outre les scènes tchèques, il n'y a guère que les théâtres germaniques à avoir installé cette œuvre à  leur répertoire ; Die verkaufte Braut, je l'ai même vue au Staatsoper de Berlin. Et quel dommage que nos scènes françaises ne le donnent pas plus souvent !

lundi 30 décembre 2019

Prague : Le Nozze di Figaro (Stavovské Divadlo)



Voilà plusieurs années que je n'ai pas mis le pied dans le ravissant Stavovské Divadlo, le Théâtre des Etats, un petit bijou inauguré en 1783, dont les débuts sont étroitement liés à Mozart. C'est là que fut créé Don Giovanni, ce qui est évidemment célébré par le théâtre qui le programme sans cesse (ce fut d'ailleurs ma première représentation à Prague).
Ce soir, place aux Nozze di Figaro !

Prague : exposition Ben Willikens (Musée Kampa)


Le Musée Kampa de Prague présente une exposition de toiles de Ben Willikens, réalisées durant les vingt dernières années.

dimanche 29 décembre 2019

Prague : Carmen (Narodni Divadlo)


Deux opéras dans la même journée, ce n'est pas si fréquent. Mon record demeure à trois, lors d'une journée londonienne, et j'ai connu des séries de deux à une vingtaine de reprises. Quand on aime, on ne compte pas.

Après Čert a Káča, le réjouissant opéra de Dvořák, c'est le plus familier Carmen qui m'attend ce soir. Il était temps : j'en vois toujours au moins une représentation par an, et 2019 a failli s'achever sans Carmen ! Quelques mots donc sur cette représentation-ci.

Prague : Čert a Káča (Le Diable et Catherine), Narodni Divadlo


Čert a Káča, en français Le Diable et Catherine, devrait être davantage connu à l'étranger ! outre le réjouissant livret, la délectable musique de Dvořák, finement orchestrée par un maître en la matière contribue largement à la réussite d'une oeuvre sous-évaluée.

samedi 28 décembre 2019

Prague : dans la vieille ville en couleurs


Après un excellent déjeuner, une promenade dans la vieille ville très colorée.

vendredi 27 décembre 2019

Premier soir à Prague


Un dîner typique et une promenade de charme dans la ville illuminée.


jeudi 26 décembre 2019

Paris : Exposition Léonard de Vinci au Musée du Louvre (2)


Après mon premier volet, voici le deuxième volet concernant l'extraordinaire exposition que le Louvre consacre à Léonard de Vinci. Période milanaise et croquis savants au programme.

samedi 21 décembre 2019

Paris : Exposition Léonard de Vinci au Musée du Louvre (1)



C'est l'évènement du moment ! La grande exposition rétrospective consacrée à Léonard de Vinci se tient actuellement au Musée du Louvre. Suivez-moi à l'intérieur pour y faire de nombreuses découvertes...

Paris : Yan Pei Ming / Courbet Corps-à-corps, au Petit Palais


Outre ses expositions napolitaines, le Petit Palais propose une exposition gratuite qui confronte un géant du XIXe siècle, Gustave Courbet, et un célèbre artiste vivant, Yan Pei Ming.

Paris : Exposition Luca Giordano au Petit Palais (2)



Le Petit Palais présente donc une rare exposition sur Luca Giordano. Après la première partie, voici la suite, avec notamment les peintures réalisées en Espagne.

vendredi 20 décembre 2019

Paris : Exposition Luca Giordano au Petit Palais (1)


Chic, une exposition Luca Giordano à Paris ! Bien sûr, l'exposition pâtit un peu du voisinage fameux de celle que le Louvre consacre à Léonard de Vinci. Je le vois plutôt comme un généreux complément pour explorer deux périodes différentes de l'art italien, si cette expression a vraiment un sens...


mercredi 18 décembre 2019

Paris : Kniasz Igor (Le Prince Igor) à l'Opéra Bastille


Après un fabuleux Lear à l'Opéra Garnier, je retrouve le plus familier Opéra Bastille pour une nouvelle production.

mardi 17 décembre 2019

Paris : Lear (Opéra Garnier)


Ma première découverte de Lear, en 2016, m'avait bouleversé et je ne voulais pas manquer cette reprise. Comme je l'avais écrit, je connais bien la pièce de Shakespeare, chef-d’œuvre absolu, et je trouve que cet opéra en offre une version exceptionnelle.

Paris : La Souricière (Pépinière Théâtre)


Une pièce d'Agatha Christie


Agatha Christie, c'est un peu un amour de jeunesse. Je dévorais les livres quand j'étais petit et j'avalais à la chaîne les titres des Bibliothèques Rose puis Verte. Je suis passé du Club des Cinq à Alice Détective (quelle déception lorsque j'ai découvert que Caroline Quine n'existait pas !) puis à Agatha Christie dont j'avais lu quasiment tous les romans à quatorze ans. Et certains, relus et re-relus. Et je ne renie pas aujourd'hui cette littérature, dont je trouve toujours les romans extrêmement bien construits, avec des personnages solidement dessinés, des intrigues policières impeccables et toujours beaucoup d'humour.

dimanche 15 décembre 2019

Vienne : Dimanche autour du Naschmarkt


Ce matin, le soleil persiste à briller et me gratifie d'un ciel sans nuage. Parfait pour une promenade architecturale ! Il est temps de me rendre dans le quartier du Naschmarkt où je n'ai fait que passer. Je passerai la journée dans le coin, avec le Kunsthistorisches Museum cet après-midi (j'ai réservé pour l'exposition Caravage et le Bernin) et le Theater an der Wien où j'assisterai, ce soir, à une représentation de La Clemenza di Tito.

samedi 14 décembre 2019

Vienne : Eglise Saint Joseph (Laimgrubenkirche)



Visiter une église Saint Joseph, ce n'est pas si courant. Même si c'est un personnage populaire (un charpentier, un immanquable de la crèche !), finalement il me semble relativement moins consacré dans les églises que d'autres saints. Voilà l'occasion de faire un point rapide.

Vienne : De Cranach à Rembrandt, peintres du Nord (Kunsthistorisches Museum)


Après ma visite de l'exceptionnelle exposition Caravage / Le Bernin, je pourrais continuer vers la peinture italienne, car le Kunsthistorisches Museum contient bien des merveilles. Mais j'ai très envie de retrouver la série de Bruegel et de voir les tableaux viennois qui n'ont pas été déplacés à l'Albertina pour la non moins remarquable rétrospective Dürer.
Donc, direction Peinture du Nord !

mercredi 11 décembre 2019

Vienne : Bruegel au Kunsthistorisches Museum (4)


En 1565, Bruegel crée pour son ami Niclaes Jonghelinck, un banquier d'Anvers, un cycle autour des saisons. De nombreux peintres illustreront cette thématique ultérieurement, de Poussin à Cézanne, mais il ne faut pas oublier que cette présentation du passage du temps est un thème récurrent depuis le Moyen-Âge, notamment dans les livres d'heures et les bréviaires. Je renvoie à la magnifique exposition de la Morgan Library de New York centrée sur ce point.

Cinq tableaux de cette série nous sont connus.

mercredi 20 novembre 2019

Vienne : Bruegel au Kunsthistorisches Museum (3)



Après les tableaux de la fin de la carrière de Bruegel (La Danse des paysans, Le Repas de Noce, Le paysan et le voleur de nid) puis les représentations à thème religieux des premières années 1560 (La Tour de Babel, La Conversion de Saint Paul, Le Portement de Croix), voici des peintures légèrement plus anciennes. La première date de 1559.

mardi 19 novembre 2019

Vienne : Bruegel au Kunsthistorisches Museum (2)



Après les trois tableaux de la dernière période de Bruegel, je poursuis mon exploration dans la série exposée au Kunsthistorisches Museum de Vienne.

Reculons un peu dans le temps.

lundi 18 novembre 2019

Vienne : Bruegel au Kunsthistorisches Museum (1)


Quand on parle de Bruegel, on fait face à une grande famille d'artistes dont plusieurs ne sont pas négligeables. Mais en l'absence de qualificatif ajouté, c'est au patriarche, Pieter dit l'Ancien, auquel on fait allusion. Un merveilleux artiste, grand reporter de la vie paysanne de son temps, qui malgré sa vie relativement courte (quarante-cinq ans, c'est peu à notre regard) et une époque troublée (le XVIe siècle, agité par de multiples courants religieux et l'occupation espagnole dans les Flandres du peintre) a réussi une peinture minutieuse et plutôt paisible. Quel que soit l'état du monde, la vie suit son cours, semble-t-il proclamer dans ses tableaux.

C'est un artiste qui fait parfaitement le lien entre Moyen-Age et Renaissance, héritier des grands artistes médiévaux flamands ou néerlandais et de leur peinture scrupuleuse (les merveilleux Dieric Bouts, Robert Campin ou Gerard David par exemple) ; plutôt que se tourner vers la peinture italienne, ou les nouveaux sujets comme le nu ou le portrait, il préfère sonder tranquillement ses campagnes flamandes et la vie intense qui y bouillonne. Avec son talent narratif hors pair, son sens du détail qui ne contrarie jamais la vision synthétique, c'est un extraordinaire peintre avec une "matière" bien reconnaissable. D'ailleurs je trouve toujours que les copies de ses tableaux ne trompent pas l’œil, tant leur fini diffère.

C'est aussi un peintre rare. Quarante-sept tableaux certains ont été conservés, et le Kunsthistorisches Museum en rassemble douze à lui tout seul. C'est une excellente raison de se précipiter dans ce splendide musée !

samedi 2 novembre 2019

Vienne : Exposition Caravage et le Bernin (Kunsthistorisches Museum)


Après le succès de l'exposition romaine qui rassemblait ces deux géants de l'histoire de l'art, le merveilleux Kunsthistorisches Museum de Vienne se propose de les réunir à nouveau, avec une nouvelle porte d'entrée : son but est de montrer comment les émotions deviennent soudain un sujet majeur, et s'épanouissent dans le creuset romain dans la première moitié du XVIIe siècle, les débuts du baroque. A peu près soixante-dix œuvres y sont présentées, qui puisent largement dans les opulentes collections du musée, complétées par des prêts parfois rares. Des Caravage venant de collection privée, on n'en admire pas tous les jours !

J'ai pu voir un certain nombre d'expositions sur le Caravage, un de mes peintres favoris, à chaque fois avec un éclairage différent. Mais jamais encore sur le Bernin. Malheureusement, beaucoup de sculptures sont interdites de photographie. J'ai pu compléter avec le Richelieu et la Méduse, mais il en manque ici un grand nombre et mon article ne rend donc qu'une image parcellaire de l'exposition. J'espère néanmoins qu'elle pourra fournir un modeste aperçu et surtout donner envie de s'y précipiter.

Le fil conducteur est donc les émotions et chaque salle est organisée selon une thématique que j'ai respectée ici.

vendredi 1 novembre 2019

Vienne : Promenade dans Josefstadt et Alsergrund


Après la fête devant le Rathaus, je pourrais poursuivre avec les festivités liées à la fête nationale, mais je préfère m'aventurer dans des quartiers plus calmes. Alservorstadt, à la limite de Josefstadt et d'Alsergrund, me paraît un bon choix à proximité.


Vienne : l'église de la Trinité (Alserkirche)


Visite d'une église de Vienne aux multiples noms : Dreifaltigkeitskirche (église de la Trinité), Trinitarierkirche, (église des Trinitaires) ou Alserkirche (église de l'Als) !

jeudi 31 octobre 2019

Vienne : Fête nationale


Comme c'est la fête nationale autrichienne et que beaucoup de lieux sont fermés (contrairement à d'autres, exceptionnellement ouverts), je traîne un peu en mettant le blog à jour avant de sortir.

Vienne : La Cour constitutionnelle (Verfassungsgerichtshof)


Le 26 octobre, en Autriche, c'est la Fête nationale ! On en profite pour ouvrir les portes des ministères et grandes institutions.

Les touristes y sont également bienvenus, mais il s'agit de visites guidées en allemand, il vaut mieux pratiquer la langue.

Vienne : En passant par Josefstadt


Ce matin, le beau temps continue ! Idéal pour réaliser un itinéraire que je n'ai pas emprunté depuis plusieurs années, en passant par Josefstadt, un quartier qui m'a toujours séduit.

mercredi 30 octobre 2019

Vienne : Eglise des Piaristes (Piaristenkirche)


Je profite de ma promenade dans ce quartier si agréable de Josefstadt pour mettre le pied dans l'église des Piaristes, un très vieux souvenir de voyage.

lundi 28 octobre 2019

Vienne : De Hoher Markt à Krugerstrasse


Ce matin, j'ai le temps de sortir sur Hoher Markt pour voir et entendre le carillon qui rassemble toujours une foule de touristes.

Vienne : La Clemenza di Tito (La Clémence de Titus, Theater an der Wien)


La Clemenza est un de mes opéras de Mozart favoris, et je suis très heureux d'avoir pu le glisser dans le programme de ce séjour viennois.

dimanche 27 octobre 2019

Vienne : Promenade dans Innere Stadt


Je commence à être à court d'idées pour intituler mes articles qui illustrent les chemins, certes différents, pour relier mon domicile provisoire, Hoher Markt, au Staatsoper.

Vienne : Rétrospective Albrecht Dürer (Albertina), troisième partie


Dernière partie de cette impressionnante exposition consacrée au Maître Dürer. Vous pourrez toujours retrouver la première et la seconde si vous les avez ratées.

samedi 26 octobre 2019

Vienne : Princesse Czardas (Die Csardasfürstin, Volksoper)


C'est devenu difficile en France de voir des opérettes de Kalman, ce Hongrois devenu pur Viennois, et dont plusieurs œuvres se maintiennent au répertoire du Volksoper. Pourtant, Die Csardasfürstin, créée en 1915, n'arriva ici qu'en 1966. Et pourtant, on n'est pas loin de la 500e ! Je l'ai déjà vu dans ce théâtre, le lieu idéal pour voir ce répertoire où il est si amoureusement présenté, mais dans l'ancienne production. La nouvelle date de l'an dernier et en est déjà à sa quatorzième représentation.

Vienne : Rétrospective Albrecht Dürer (Albertina), deuxième partie


Deuxième round de cette fabuleuse exposition consacrée à Albrecht Dürer.

Vienne : Rétrospective Albrecht Dürer (Albertina), première partie


L'Albertina possède cent quarante dessins de Dürer, dont au moins trois très célèbres (la touffe d'herbe, le lièvre et l'aile de rollier) dont elle expose habituellement des copies. Elle se décide enfin à monter une grande exposition, extrêmement riche, en présentant ses fonds et en les complétant avec de nombreux prêts. On ne trouve pas toutes les peintures célèbres, certains musées ayant sans doute refusé de se séparer de leur pièce maîtresse, mais le grand nombre d'œuvres exceptionnelles, rarement ou jamais montrées, fait de cet exposition un vrai évènement. Plus de deux cents numéros d'exposition, c'est rare de nos jours, et encore plus concernant un artiste majeur.

Vienne : Macbeth (Wiener Staatsoper)


J'avoue que j'ai un faible pour Macbeth, un de mes opéras de Verdi favoris. Terminer ma série au Wiener Staatsoper avec celui-ci, qui rentrait pile dans mes dates, quel plaisir ! 

vendredi 25 octobre 2019

Vienne : Chefs-d'oeuvre de la Collection Guerlain (Albertina)




Depuis 1990, le couple Guerlain collectionne avidement les dessins contemporains et a fait une donation importante de 1200 d'entre eux au Centre Pompidou. L'Albertina propose un aperçu de ce don avec une centaine de pièces, qui illustrent des courants très variés.

Vienne : Rétrospective Arnulf Rainer (Albertina)

Les salles voûtées servent toujours à des expositions de taille moyenne, souvent intéressantes. Actuellement, l'Albertina y expose une rétrospective de l'artiste Arnulf Rainer, souvent présenté dans ses salles d'art contemporain. Ce monsieur a plus de 90 ans et a connu des tendances diverses.

Vienne : Il Barbiere di Siviglia (Wiener Staatsoper)


Avec Die Fledermaus, (La Chauve-Souris), Il Barbiere di Siviglia (Le Barbier de Séville) est l'oeuvre que j'ai vue le plus souvent au Staatsoper. Toujours dans la même production, signée Günter Rennert, avec depuis des années le même principe : essentiellement des membres de la troupe, sauf l'Almaviva qui est toujours un artiste invité.

jeudi 24 octobre 2019

Vienne : Rétrospective Maria Lassnig (Albertina)


Le bouillonnant Albertina consacre actuellement une exposition à Maria Lassnig, une des plus passionnantes artistes autrichiennes, morte en 2014.

Cette femme fut marquée par plusieurs traumatismes : la seconde guerre mondiale, qui fera d'elle une antimilitariste engagée, le décès de sa mère, qui la plongea dans ine profonde dépression. Elle voyagea beaucoup, vécut à Paris où elle découvrit l'évolution du surréalisme, plus de dix ans à New York où elle acquit une renommée mondiale.

Bratislava : promenade sous le soleil !




Je dois me lever assez tôt pour avoir le temps de réaliser mon programme. Je vérifie horaires et lieu de départ ; je fais bien car le bus repart de Hauptbahnhof, comme autrefois. Slovak Lines, 8 € l'aller, ce n'est pas coûteux. Je n'achète pas un aller retour, l'expérience de l'an dernier m'a échaudé.

Bratislava : le palais Apponyi



Ce palais baroque fut acquis par la puissante famille Apponyi, détentrice également d'un palais à Vienne. Ses salles décorées conservent encore meubles, objets et tableaux, malgré les revers de l'histoire.
Posséder un palais dans la ville des couronnements était un plus indéniable.


Bratislava : le musée du vin


On ne le sait pas toujours en France, où l'abondance et la qualité de la production hexagonale limitent notre horizon, mais l'Europe Centrale est depuis fort longtemps une grande terre vinicole. La Hongrie et l'Autriche produisent des vins fameux, et la Bohème en est une où on fait du vin depuis le plus longtemps. D'ailleurs, elle dispute avec l'Arménie le titre de plus ancien biotope de la vigne.


C'est dans le Palais Apponyi, au rez de chaussée et au sous-sol, qu'est installé le petit musée sur le thème du vin.

Bratislava : le musée de torture




Comme je l'ai écrit dans l'article sur l'ancien Hôtel de ville de Bratislava, les sous-sols furent utilisés comme prison. C'est dans cette partie qu'est installé un petit musée de torture, étrangement calme (je suis le seul visiteur) alors que ce type  d'exposition attire généralement les foules.