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lundi 28 août 2017

Conseils perso pour voyager au Japon


Une petite liste pour réussir son voyage, avec des conseils classés chronologiquement.


Dix mois avant le départ : l'avion

 


La bonne période pour acheter un billet à bon prix. Si on part pendant les vacances scolaires, on a peu de chances de trouver des promotions plus près du départ.

Je lance des alertes (Skyscanner , Liligo, Kayak le permettent) et mon constat est toujours identique : les tarifs augmentent inexorablement, par paliers. De douze à dix mois, en revanche, je n’ai jamais vu de changement.

Toujours chercher avec plusieurs dates. Les mercredis et jeudis sont généralement des jours moins chers pour voyager. La période de dimanche à dimanche, parfois aussi. La différence peut être de l'ordre de 20 %.

Il ne faut pas oublier que les trajets les moins chers sont les plus longs, et je parle évidemment ici de temps. Le tarif est abaissé en fonction de la durée des escales. Mais celles de dix heures valent-elles vraiment le coup ?

Il vaut mieux éviter d'acheter son voyage le week-end ou en soirée. Les meilleurs tarifs apparaissent la nuit, entre 2:00 et 6:00. Incroyable mais plusieurs fois vérifié. Cela peut valoir le coup de mettre son réveil, au moins pour tester.

Langue



Si on n’a jamais étudié le japonais, c’est le bon moment pour que les éléments rentrent dans la tête !
En faire un peu, régulièrement, c’est toujours la clé du succès pour les apprentissages. Si on marque une pause un peu prolongée, on perd rapidement ce qu’on a acquis.

Pour moi, la meilleure solution est les applications sur téléphone : on l’a partout avec soi et on peut réviser dès qu’on a un moment (la queue aux caisses, par exemple). J'ai récupéré les suivantes sur Googleplay mais j'imagine que concernant Apple, on les trouvera aussi sans difficulté.

J’utilise JA Sensei, très complète et vraiment remarquablement faite. Cependant j’avais des difficultés avec les hiraganas et les katakanas, Hiraganapp et Katakanapp, avec leur système mnémotechnique, m’ont beaucoup aidé. Toutes ces applications disposent de quiz pour réviser régulièrement.

Beaucoup de touristes voyagent au Japon sans connaître un mot de japonais ! Si on veut dépasser le stade du « sumimasen » et « arigato gozaimasu », c’est à dire pouvoir commander au restaurant et demander son chemin (au minimum), lire des panneaux, c’est vraiment utile.
Donc il vaut mieux s’y mettre à l’avance !

Six mois avant le départ


Programme



Bien planifier son programme par étapes. Vérifier si c’est réalisable avec le train sans passer son temps dans les transports ni multiplier les changements. Étant donné que le premier poste financier du voyage est le transport, autant en profiter ! Beaucoup calculent leur durée en fonction du JR Pass. J’y reviendrai plus bas.

Quelles étapes ?



La base de tout voyage au Japon est évidemment Tokyo et Kyoto, les deux villes les plus visitées et qui ont énormément à offrir. J’y ai à chaque fois passé cinq nuits et ça ne m’a jamais paru excessif. Pour le reste, je conseillerai volontiers le programme de mon premier voyage : Tokyo Matsumoto Takayama (avec la balade à Hida no Sato)– Kanazawa Kyoto - Hiroshima (et Miyajima) – Himeji - Osaka Nara Koyasan.

Avec les ajouts de ce voyage, je conseillerai Nagoya, au moins pour le magnifique palais Honmaru, ainsi que Nikko. Et Yokohama semble avoir aussi beaucoup à offrir !

L’étape de Koyasan, rarement prévue par les touristes européens, est une extraordinaire expérience, à prévoir avec une nuit sur place.

Se loger




Une fois cela établi, s’occuper de réserver les logements. Si on a un budget très large et qu'on peut enchaîner les Mariott et Hyatt Regency, pas de souci. Si on est plus serré, les chambres des hôtels économiques partent vite.

Comme je l’écris à chaque fois, les tarifs les plus intéressants apparaissent presque toujours sur Booking et Hotels.com, l’avantage de cette dernière étant que, si on y est enregistré, on a une nuit gratuite après dix payées. Ca vaut toujours le coup. Hotels.com demande généralement le paiement à la réservation, et Booking non, mais certains hôtels débitent cependant la carte. Personnellement je préfère payer tout de suite, ça permet d‘étaler les frais.

Même si c’est plus coûteux, je conseille au moins une nuit en shukubo (logement dans un temple ; partout à Koyasan!) et une en ryokan (si possible avec repas).

On trouve des ryokan à partir de 60 € sans repas, autour de 100-120 € avec repas, et cela grimpe jusqu’à des milliers d’euros. C’est une expérience propre au Japon et inoubliable, que je recommande vivement.

Pour l’emplacement, finalement j’en arrive à un principe éprouvé :
- pour une nuit ou deux, le plus près possible de la gare, ça évitera de traîner son bagage trop longtemps.
- pour plus longtemps, choisir un centre stratégique qui permette de rallier un maximum de sites envisagés. J’ai logé deux fois à Asakusa à Tokyo, cette fois à Gion à Kyoto, et les deux quartiers sont parfaits.

A partir de trois mois : le JR Pass



On peut acheter son Japan Rail Pass, souvent abrégé en JR Pass. C’est un document qui permet de voyager sur les lignes JR (les plus répandues, heureusement, mais elles n’existent pas toujours là où on veut aller). Il s’achète en France, en ligne. Il faut bien comparer les tarifs d'un site à l'autre car la différence peut aller jusqu’à 50 €.

Comme l’agence qui vous le vend le paie en yens, son prix change selon le cours du jour. Ce n’est pas mal de surveiller un peu les tendances.

On peut acheter pour une, deux ou trois semaines, tarif adulte ou enfant, classe normale ou green, plus luxueuse. La classe normale est supérieure à notre première, question confort et espace.
Est-ce que ça vaut le coup ?

Le JR Pass de trois semaines valant autour de 460 € (une moyenne, changeant avec le cours du yen, comme je l’ai expliqué), on peut vérifier si c’est une affaire ou pas : l’application ou le service en ligne Hyperdia donne, un an à l’avance, tous les horaires, avec les prix et même le numéro du quai. On peut tout de suite calculer son total. On ne peut ignorer que les transports sont vraiment onéreux au Japon et que ce pass, vendu seulement à l’étranger, avec des contraintes strictes, est très envié par les Japonais ! Pour donner une idée, le trajet Tokyo-Hiroshima, aller simple, revient à 160 € en place assise en Shinkansen. Si on bouge un peu,on rentabilise très vite.

Avant le départ : les bagages



Sac à dos, valise, valise à roulettes, sac à roulettes, j’ai tout essayé. Ma préférence actuelle va à ce dernier, mais je pense que c’est une affaire de goût. Les éléments à prendre en compte : le poids (la limite de l’avionneur et tout simplement le fait qu’on le charrie une bonne partie du voyage), la solidité des éventuelles roulettes (souvent la cause de la fin du sac) et l’épaisseur totale du bagage, vu la taille des consignes japonaises. Mieux vaut plus large et plus plat.

A ne pas emporter



Gel douche, shampooing. Je n’ai jamais vu un hébergement qui n’en soit pas équipé.

Les pantoufles. On en trouvera aussi bien dans les établissements modernes que dans les maisons traditionnelles.

Le convertisseur de voltage. Le Japon fonctionne comme les USA : prises plates, 110 V. Si on n’a besoin que de recharger son téléphone et sa tablette, aujourd’hui ces produits électroniques fonctionnent avec les deux voltages. Convertisseur inutile donc.

Pendant longtemps, j’ai voyagé avec les fameux adaptateurs électriques de voyage, qui permettent de connecter sa prise européenne. Je me suis simplifié la vie, et ai gagné en poids en achetant tout simplement une multiprise USB à fiche plate, je l’utilise dans ces voyages. Je n'emporte donc plus mes chargeurs de téléphone, tablette, etc. Rentabilisée ! Chez Aliexpress cela se trouve pour quelques euros.

Les guides conseillent de prendre un anti-moustiques. Bien que ces bestioles m'adorent en général, je n'en ai jamais rencontré dans les zones que j'ai visitées. Cependant je ne peux nier que les expats vivant au Japon en parlent souvent dans leur blog.

A emporter impérativement



Une mini-pharmacie (avec ordonnance, ça évite certains problèmes à la douane). C’est toujours compliqué de devoir retrouver un médicament à l’étranger et parfois affreusement coûteux. Certains sont interdits au Japon, les opiacés notamment. Bien se renseigner sur les sites des ambassades.

Un déodorant. Produit beaucoup moins répandu que chez nous !

Une paire de chaussures sans lacets. On passe son temps à quitter ses chaussures dans ce pays. A voir suivant le confort de chacun. Personnellement je suis incapable de passer une journée à marcher avec des tongs. Avant la chaussure-chaussette (merveilleux!), je voyageais avec des sandales à scratch.

Prévoir quand même des chaussures Gore-Tex fermées en cas de pluie.

Vêtements ? Les histoires où, en été au Japon, il va faire frais le soir en montagne, ne valent que si on fait l’ascension du mont Fuji. Pour le reste, prévoir le plus léger possible. Je pars avec un nécessaire pour sept jours, pour éviter de passer mon temps à la lessive. Et deux de ces sept jours sont dans mon bagage cabine à l’aller, en cas de perte de bagage. Ça m’est arrivé quatre fois. Attention, en hiver, le climat est rigoureux ! Voir toutes les photos avec les temples sous la neige...

Un parapluie super-léger qu’il vaudra mieux garder avec soi, la météo s’avérant capricieuse. La cape de pluie, dans les pays tropicaux, devient un vêtement de sudation ! Si on l'oublie, on n'aura aucun mal à acheter un parapluie transparent, énorme succès local.

Mais tout le nécessaire pour se prémunir du soleil est indispensable : chapeau (à large bord plutôt que casquette qui ne protège ni les oreilles, ni la nuque), crème solaire, serviette légère pour s’essuyer. Si on n'a pas de petit modèle, toutes les 100 yens shops permettent d'en acquérir à bas coût.

Je prends toujours une grande serviette en microfibres, il m’est arrivé qu’elle soit comptée en supplément (cher) dans les onsen et dans certains hôtels. 300 g seulement. C'est aussi ce qui sèche le plus vite.

Changer un peu d’argent pour tenir un minimum. Le plus pratique est le change en ligne (Travelex par exemple, on récupère ensuite à l’aéroport français ou dans une gare) dont le tarif est très différent du change au guichet. Pour les Parisiens, le deuxième arrondissement recèle quantité de bureaux qui vendent des yens à des taux corrects. Mais on trouvera moins cher sur place ! Le problème est que les distributeurs des aéroports ne reconnaissent pas nos cartes de paiement européennes.

Pas de visa à faire à l’avance pour le Japon.

A l’arrivée à Tokyo



On peut également débarquer à Osaka, mais je ne parle que de ce que je connais.

On remplit les formulaires, on passe aux formalités (photo, empreintes…) et on a le fameux autocollant qui sert de visa.

Le pass pour le métro ne peut s’acheter qu’à l’aéroport. Après, c’est fichu. A celui de Narita, on le vend dans un grand comptoir, à gauche de la sortie principale, qui fournit aussi les billets pour les navettes. 24 / 48 / 72 heures. Si on veut davantage, il faut acquérir plusieurs pass. Extrêmement rentable, vigoureusement conseillé. En outre, sa durée est en heures et pas en jours ; si on se débrouille bien, il peut être utilisé le matin suivant.

Si on a commandé une carte de téléphone (ou autre chose) en ligne, on récupère son paquet à la poste, dans les étages.

Il est évidemment toujours très fortement déconseillé de changer dans les aéroports, taux prohibitif !

Et nos cartes bancaires européennes ne marchent pas partout (seulement dans les bureaux de poste et les 7-11, des conbini ouverts 24 h/24). La première année, je ne suis arrivé à retirer nulle part à l’aéroport.

En général, c’est aussi à l’aéroport qu’on fait éditer le JR Pass. Le bureau est au sous-sol, c’est très bien indiqué. Il faut s’attendre à une certaine attente car on n’est pas seul. Mais le personnel est, comme toujours, aussi efficace que serviable, et on trouve de nombreux dépliants sur les points touristiques qui font patienter. Pendant la queue, des employés souriants viennent vérifier la validité et vous faire remplir un formulaire carboné, qui sera collé en haut. Quand votre tour arrive, un autre s'occupe de vous et édite le ticket vert qui établit la validité du pass en précisant la date d'expiration.

Le JR Pass est à conserver avec soi : en cas de perte, on devra racheter tous ses billets de train. Et c’est hors de prix, je le répète !

Je conseille aussi de faire une carte PASMO ou SUICA, à son nom (elle, on peut la récupérer). C’est une carte de paiement où on charge de l’argent au fur et à mesure et qu’on utilise par contact. Les Japonais paient souvent les transports et parfois les achats (distributeurs de boissons, conbini) avec. Indispensable dans les bus de Kyoto qui ne rendent pas la monnaie ! La carte est bien pratique une fois qu’on en a pris l’habitude et, comme l’Oyster Card de Londres, elle n’a pas de date limite de validité. Les distributeurs automatiques qui se trouvent près de ceux qui délivrent les tickets de métro fabriquent la carte à votre nom, tout y est bien expliqué en anglais. A l'origine ces cartes n'étaient valables que dans une région du Japon, mais elles le sont maintenant dans tout l'archipel. En tout cas, je l'ai vérifié partout où je me suis rendu.

Si on a fait démarrer son JR Pass le jour de l’arrivée, on file prendre le Narita Express qui est accessible avec le passeport magique. Si, comme moi, on le débute ultérieurement, la solution la plus économique est de prendre le train de banlieue. Les guichets et le quai se trouvent dans le couloir après le bureau du JR Pass.

Je préfère dépasser un peu la durée de 21 jours retenue par beaucoup pour coller à celle du JR Pass. Je prévois mes déplacements à Tokyo en fonction. D'abord avec le métro en fonction de la carte, avec la Yamanote (accessible avec le JR Pass) lorsque la première est expirée.

Au Japon



Si on a suivi le déroulement précédent, on a deux priorités. Pour la première, changer son argent, le meilleur taux que j’ai trouvé (peut-être la plus minuscule commission que je connaisse dans le monde entier) est Ninja Money, à côté de la station d’Akihabara. Pas facile à trouver (dans un étage, l’escalier après le restaurant de friture). Tout est très bien indiqué sur le site cependant.

Si celui-ci est fermé, les bureaux de change au rez-de-chaussée du Don Quijote d'Akihabara pratiquent des taux très convenables.

Le bureau du JR Pass de l’aéroport a remis le joli document avec le sakura en fleurs, mais on n’a pas de siège réservé pour autant. C’est compris dans le prix, il faut en profiter. J’ai rencontré l’an dernier une Allemande, avec pass mais sans réservation, qui avait dû faire Hiroshima-Osaka debout. Il faut donc se rendre au bureau de réservation de n'importe quelle gare JR pour éditer ses réservations et obtenir les billets avec l'indication des sièges correspondants. Apporter une liste avec tous les horaires, précédemment recherchés sur Hyperdia, ne pourra être qu'utile.

Je prépare tout sur un tableau Excel et je le donne directement au préposé. C'est le plus pratique. Pas besoin de caractères japonais, tous les employés lisent le romaji, comme la majeure partie de la population.




L'an dernier, j'avais obtenu tous les trains que je voulais. Cette fois, il m'a fallu modifier un trajet, le train étant complet. Je n'ai pu partir le 18 à 9:58 mais à 11:58, ce qui a un peu précipité mon transit vu que j'avais déjà réservé le bus !

Carte de téléphone



Si on ne s’est pas encore occupé de la carte de téléphone, c’est le moment de le faire. Au Japon, la wifi se généralise peu à peu, mais elle reste moyennement répandue et presque partout, il faut des comptes et des inscriptions pour y accéder. Et, pour s’inscrire, il faut appeler des numéros de téléphone, parfois en utilisant un opérateur spécifique. Ce qui m’intéresse, c’est d’avoir des données pour pouvoir me situer sur les plans, accéder au site du musée éventuellement. Pour les mails, le blog, les appels avec les applications (Hangouts, Skype et compagnie), je le fais en général à l’hôtel où j’ai souvent eu une wifi efficace. Je dis bien souvent et pas toujours. Cette année, j'ai connu quelques déboires... Et j'étais bien content d'avoir ma carte !

Pour un achat sur place, le plus intéressant pour moi cet été était Freetel. On peut acheter la carte à l’aéroport mais c’est plus cher qu’en ville. Yodobashi, Bic Camera, etc. offrent un large choix pour comparer de toute façon.

Comment paramétrer sa carte SIM ?


Une parenthèse sur la carte de données, puisqu'en 2016 je n’ai pas pu du tout m’en servir et qu'en 2017 il m’a fallu attendre une dizaine de jours avant de l’utiliser.

Outre la procédure clairement indiquée, en anglais, sur le livret fourni (APN, etc), il est nécessaire de vérifier plusieurs points que personne n’indique :

- Autoriser la connexion de données sur cette carte. Logique, puisque votre téléphone est considéré « en itinérance » au Japon.

- Affecter le service 3G à la carte. C’était ce point-là qui bloquait pour moi. En fait, mes deux cartes entraient en conflit ; je n’ai réussi à le faire qu’en désactivant la 2G sur ma carte SFR française. Je ne sais pas si cela se produit pour tous les téléphones, et ce n’est qu’au Japon que ce problème m’est arrivé.

-Si l’étape « Sélectionner automatiquement » dans « Réseaux mobiles, Opérateurs de réseau » ne donne rien, passer sur « sélection manuelle » et tester tous les réseaux l‘un après l’autre. Une fois la connexion établie (les barrettes apparues), repasser en automatique. Sinon les problèmes vont se répéter ! On peut avoir à refaire cette manipulation durant le voyage, c'est du vécu.

Je ne suis apparemment pas le seul à avoir eu des problèmes. Rien que dans mon hôtel à Kyoto, j’ai dépanné quatre téléphones.

On ne fait pas…



- Se moucher en public

- Éternuer si on ne porte pas de masque (gros regards courroucés et réprobateurs à prévoir)

- Passer devant quelqu’un (resquiller dans la file d'attente)

- Manger en marchant (ni boire, ni plein d'autres choses)

- Téléphoner dans les transports en commun

- Jeter ses papiers. Pas de poubelle publique hors le recyclage des bouteilles en plastique et cannettes qui jouxtent les distributeurs. On garde tout avec soi et on jette le soir, à l’hôtel.

- Courir dans la rue

- Fumer dans la rue

- Traverser au feu rouge, même s’il n’y a aucun véhicule à l’horizon.

- Arrêter son vélo hors d’un parking.

- Donner un pourboire. Considéré comme insultant.

La liste est longue. Plein d’autres à découvrir !

28 commentaires:

  1. Very useful if I travel to Japan ! Why not ? Thanks !
    Annie

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    1. Thanks, Annie ! Still a great pleasure to see your kind enthusiasm !

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  2. Merci beaucoup pour cet article très complet, avec beaucoup de conseils qu'on ne trouve pas dans les guides. Nous pensons partir en avril prochain. Si nous suivons vos conseils, il faudrait réserver avion et hôtels dès maintenant.
    Héloïse et Antoine

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    1. Chers Héloïse et Antoine,
      merci d'avoir pris la peine de rédiger cet aimable commentaire. Vous risquez de tomber dans une des périodes les plus touristiques (Hanami, les sakuras en fleurs), donc je ne saurais trop vous recommander de finaliser vos hébergements. Pour l'avion, je ne peux que confirmer mes précédents conseils.
      Cordialement,
      fredailleurs

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  3. Très utile ! Merci pour ces conseils qu'on ne trouve nulpart aileurs !
    Véra

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  4. Merci. Parfait et très détaillé.

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    1. Merci d'avoir pris la peine de rédiger cet aimable commentaire !

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  5. Merci beaucoup Frédéric pour cet article très utile. J'ai lu tous les articles sur le Japon avec beaucoup d'intérêt. J'ai promis à Elisa que nous irions au Japon pour ses 18 ans, dans 4 ans donc! En attendant, j'espère pouvoir aller à New York l'année prochaine pour les 18 ans de Thomas! Bises et encore bravo pour ton blog!

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    1. Merci Agnès pour ces chaleureux commentaires ! Je formule des voeux pour des voyages réussis.

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  6. Très utile article avec plein de conseils que je n'avais jamais lu nulle part ! Je vais les suivre à la lettre pour mon voyage d'avril.
    Patrick

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  7. Merci beaucoup Patrick pour cet aimable commentaire. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions complémentaires.

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  8. Super article ! Merci pour ces conseils très utiles.
    Édouard

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  9. Grazie per la to-do list. Indispensabile!
    Lena

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  10. Bravo pour cet excellent article, et particulièrement la partie sur le téléphone !
    Karen

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    1. Merci beaucoup Karen pour ce chaleureux commentaire !

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  11. Bonjour
    Votre blog m'a sauvé Comme vous j'ai acheter une carte sim mais impossible de la connectée. J'ai cherché partout sur internet et je suis tombé sur cette page. Vous devriez faire un article spécial sur la carte sim au Japon pour qu'onle trouve plus facilement.
    En tout cas un immense merci.
    Renan

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    1. Je suis très touché de vos remerciements, Renan. Effectivement je pense isoler la partie sur le téléphone pour qu'elle soit plus facile à trouver.

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  12. Un guide très précis et complet. C'est un article qui devrait être mieux diffusé et mieux connu.
    Super utile, en tout cas.
    Jérém

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  13. We will be in Japan in next September. Your list is very useful to prepare our trip. Many thanks.
    Tord from Bergen

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  14. What a comprehensive guide on Japan! It is definitely on my wishlist. Would love to experience the local stuff – food, transport, culture and the heritage.
    Renuka

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  15. Great, helpful, useful!
    #1 post for travelers to Japan.

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