Moscou : Iolanta au Bolchoi

Retour au Bolchoi

Retour, si on veut : même compagnie que pour le Ballo in Maschera de dimanche dernier, mais nouvelle salle.

Moscou : Promenades à Sretenka, Neglinnaia

Sretenka et Sukharevskaya 

Grasse matinée car cette tenue nocturne du blog accumule le sommeil en retard ! J'émerge à 11:00, juste le temps d'une petite promenade.

Moscou : concert Beethoven au conservatoire

 

 Un programme Beethoven, en attendant l'anniversaire de  2020. Deux instruments, trois solistes, tout plein de sonates pour un passionnant concert.

Moscou : La maison de Tolstoï, Saint Nicolas des Tisserands

Je n'ai pas assez de temps pour visiter tous les appartements et maisons d'écrivains de Moscou, et il y en beaucoup ! Celles de Pouchkine et de Gogol sont particulièrement réputées. 

 Mon choix s'est porté sur celle de Tolstoï, l'auteur de Guerre et Paix, d'Anna Karenine, de La Mort d'Ivan Ilitch. Un immense auteur de la littérature mondiale. D'ailleurs, outre sa maison, on peut visiter un musée qui lui est consacré dans un autre quartier.

Moscou : Kitai-Gorod, Hôtel des Anglais

Promenade vers Kitai-Good et visite de ses fameuses églises.

Moscou : Monastère et cimetière Novodievitchi

Direction le plus célèbre monastère de Moscou (celui de Pimen dans Boris Godunov d'ailleurs) et son cimetière où sont enterrés de grands noms russes !

Moscou : la Galerie d'art européen du Musée Pouchkine

Ce matin, la pluie s'est de nouveau invitée. C'est le bon moment pour poursuivre ma visite de musée. Avec mon billet combiné acheté au Musée des Beaux-Arts Pouchkine, je vais pouvoir explorer leur second bâtiment.

Moscou : Lucia di Lammermoor au Novaya Opera

Après La Fiancée du Tsar, me voici de retour au Novaya Opera pour Lucia di Lammermoor, un opéra bien plus fréquent sous nos latitudes.

Moscou : le Café Pouchkine

Une promenade dans Arbat qui s'achèvera vers le plus fameux café de Moscou...

Moscou : Musée des Beaux-Arts Pouchkine

Le grand musée de la ville, avec le trésor de Troie et la peinture classique européenne, Botticelli, Rembrandt, Le Lorrain...

La "galerie européenne" avec les collections Morozov et Chtouchkine, notamment les peintures impressionnistes, est dans cet article-là. 

Moscou : une comédie musicale russe, Sobaka na cele

Une tradition vivante

L'opérette russe n'a guère franchi les frontières et pourtant le genre est bien vivant depuis le XIXe siècle. Même La Dame de Pique a été adaptée en version opérette (je ne parle pas du merveilleux opéra de Tchaikovsky, évidemment). Aujourd'hui c'est plutôt la comédie musicale, comme partout, qui marque les nouvelles créations. 

Moscou : Nouvelle Galerie Tretyakov (Tretiakov) , Parc Gorki

Piotr Konchalovsky, Agave

Le musée pour admirer les grands courants qui ont agité l'art russe du XXe siècle, avec des œuvres fondamentales.

Moscou : Église Saint Clément, Galerie Tretyakov (Tretiakov)

L'énorme musée pour découvrir les grands peintres russes avant le XXe siècle. Extraordinaire.

Moscou : La Fiancée du Tsar (Tsarskaia Nevesta) au Novaya Opera

Un opéra bien peu joué en France, avec une chouette distribution. Belle soirée avec La Fiancée du Tsar ! 

Moscou : concert Rachmaninov et Taneyev avec l'Orchestre National de Russie

Musique russe, fameux interprètes russes, célèbre salle russe...

Moscou : Visite du Kremlin

Le Kremlin, c'était et ça demeure un des principaux symboles de la Russie. C'est toujours le siège du pouvoir. Il ne faut pas s'imaginer pour autant qu'on va visiter le bureau de Poutine. Le trajet est très balisé, et on se fait rappeler à coup de sifflet dès qu'on fait un mètre de plus. Et, ce qu'on peut vraiment visiter avec le billet "complexe architectural" à 500 roubles, ce sont des églises.
J'ai pris en plus la visite de l'armurerie qui m'avait vivement été conseillée, et j'ai réservé en ligne, sur le site du Kremlin. Il me faut cependant aller échanger mon voucher contre les billets, mais la queue au guichet dédié est bien moins longue.

Moscou : la Cathédrale Saint Basile le Bienheureux

Aujourd'hui, toujours du vent mais la bonne nouvelle, c'est le ciel bleu ! C'est parti pour de nouvelles aventures, avec la visite de la plus célèbre église de Russie.

Moscou : Giselle avec le ballet du Kremlin

Une fois n'est pas coutume, me voici spectateur de ballet. Ce n'est clairement pas mon type de spectacle favori, mais j'en ai bien vu une trentaine dans ma vie, et quelques ballets classiques figurent là-dedans. J'ai même vu des troupes russes (le Mariinsky, le Bolchoi) dans leurs tournées françaises. Des ballets de Tchaïkovski essentiellement.
Giselle a beau être un classique, c'est une première pour moi.

Moscou: Monastères Rozhdestvienski et Saint-Pierre d'en haut, Tverskaia, Place Rouge

Pas de pluie ce matin, mais un petit 6°C que le vent, toujours présent, rend glacial. Je verrai même quelques flocons voleter dans la journée.
Je me harnache donc et, bien couvert, me voici lancé à la découverte.

Moscou : Un ballo in maschera au Bolchoi

Après les représentations de Saint Petersbourg et de Paris, le hasard met sur ma route cette nouvelle production, dans l'éblouissante salle du Bolchoi historique. Peu de temps après ma visite à Boston...

A Moscou!

Revenir à Moscou, c'est un projet qui n'était pas initialement prévu. Mais quand mon vol pour Saint-Petersbourg a été annulé et remboursé sans explication, j'ai eu soudain l'idée de revenir dans cette capitale pour y rafraîchir mes souvenirs. Tout a été bouclé assez rapidement, malgré des difficultés non négligeables pour les places de spectacle. Je n'ai jamais pu réserver sur le site du Novaya Opera, il m'a fallu me débrouiller autrement. Aucune solution trouvée pour le Stanislavsky. Mais mon programme fera l'affaire  avec un panorama large des salles moscovites... 

Paris : Poussière de Lars Noren à la Comédie Française

Une pièce de Lars Noren mise en scène par l'auteur

Lars Noren est aujourd'hui l'auteur dramatique le plus joué dans le monde, et il se pourrait qu'il soit un futur prix Nobel de littérature.

Sa création est une pièce chorale, située dans une station espagnole où un groupe de retraités se retrouve. Le sujet est dans l'âge des participants, des seniors dont le nombre diminue progressivement.

Le Château de Vincennes

Ma dernière visite au château, c'était il y a vingt ans. Mais l'idée me trottait dans la tête depuis un moment. Il y a tant à voir à Paris et dans sa région que je n'avais pas encore pris le temps de m'y rendre. Et je dois avouer, encore une fois, m'être bien régalé à cette visite.

Paris : Canal Saint-Martin, Rotonde, Buttes-Chaumont, Philharmonie

Malgré les grèves, mon train circule sans encombre et j'atteins Paris comme prévu un peu après midi. Je pars poser mon sac à l'hôtel et retrouve mes parents qui séjournent actuellement dans la capitale.

 A Paris, le ciel est tout azuré ! Bien plus qu'en Provence ce matin. L'itinéraire me fait passer devant Saint Ambroise. Je n'entre pas dans cette église, œuvre du prolifique Ballu (celui de la Mairie de Paris et de l'église de la Trinité). C'est pourtant une de ses réussites. Outre le nom du saint patron de Milan, elle est célèbre pour son rôle dans la Commune (le Club Ambroise était une association de prolétaires qui s'y réunissaient), les obsèques de Marthe Erbelding (une enfant de onze ans violée, tuée et dépecée dans les années 1910) et évidemment le mouvement des sans-papiers il y a une vingtaine d'années.

Paris : Benvenuto Cellini à l'Opéra Bastille

Je pense que le dernier Benvenuto Cellini à Bastille, c'était dans les années 1990, avec l'inoubliable Chris Merritt dans le rôle-titre. Il était temps que ce chef-d'œuvre de Berlioz revienne sur la scène de l'Opéra de Paris.

Paris : Elias avec Matthias Goerne à la Philharmonie

Philharmonie : Elias de Mendelssohn

 

Souvenirs...

Cette œuvre magnifique est un grand oratorio, le second de Mendelssohn, avec de grandes pages chorales, des airs splendides et la délicate orchestration dont le cher Felix fait toujours preuve. Elle fut commandée par le Festival de Birmingham, et donc créée en 1846, en anglais, sous le titre Elijah. C'est resté l'oratorio le plus connu en Angleterre avec le Messie de Haendel. Les liens avec l'Angleterre n'avaient rien d'étonnant : Haydn y avait voyagé, Beethoven avait arrangé des airs populaires (notamment écossais), Mendelssohn avait inclus cette île dans son tour européen, d'où la Symphonie Écossaise et l'ouverture Les Hébrides. 
A cause de sa mauvaise santé, Mendelssohn n'entendit jamais la version en allemand et mourut à quelques jours du concert à Vienne. 

Lyon : Achats aux Halles Paul Bocuse

Excellent petit-déjeuner

   Avant l'escapade rituelle aux Halles Bocuse, il faut prendre le petit déjeuner. Sur le cours de la Liberté, une boulangerie-pâtisserie propose, comme c'est souvent le cas à Lyon, d'excellents produits. Le pain qui cuit sous nos yeux répand dans le magasin une odeur qui ouvre l'appétit.

Lyon : Déjeuner au Carré Royal, Musée de l'Imprimerie (Andy Warhol)

Retour à Lyon

Il était temps de revenir à Lyon, ville que j'aime beaucoup. Avec leur festival d'opéra qui se déroule toujours à peu près aux mêmes dates, l'escapade au printemps  est devenue une habitude. 

Départ du sud avec un temps maussade et venteux, direction l'A7 pas encore envahie par les voyageurs de Pâques. 

Lyon : Macbeth à l'Opéra

Une production originale 

J'avais apprécié la mise en scène d'Ivo van Hove dans les Damnés, à la Comédie Française, mais j'avais lu des critiques fort négatives de celle-ci.

Je suis partagé aujourd'hui. L'idée de base est de montrer les Macbeth au centre d'un groupe financier dont le personnel devient tantôt les sorcières, tantôt les fêtards du banquet. La contextualisation de la scène finale est intéressante et donne un sens au chœur Patria oppressa, l'image ultime qui rassemble les manifestants du monde entier (on voit même un panneau I have a dream) est spectaculaire. La direction d'acteurs est soignée mais certaines scènes m'ont paru plus brouillonnes, et l'idée de placer Macbeth face à sa Lady pendant la lecture de la lettre me semble sans intérêt. La deuxième scène des sorcières pourrait être théâtralement mieux gérée, aussi.