New York : Homard et courses

Lobster and burger

Comme ma précédente expérience au Lobster and Burger, l'an dernier, avait été fort agréable, je m'empresse de réitérer ce repas de homard.

J'arrive relativement tôt, et pour le moment c'est plutôt calme...

Pas de tergiversations. Je choisis, comme l'an dernier, The Original, un homard du Maine de 750g environ, grillé, avec frites et salade.

C'est vraiment un régal. La chair des pinces, en particulier, est hautement délectable.

30 $, ce qui m'amène, avec la taxe et le tip, à 38 $. Autour de 35 €. Ca ne me paraît toujours pas cher, et encore moins pour Manhattan.

Courses au Bath and Beyond

Encore un classique de mes séjours ici que ce très grand magasin où on trouve de tout pour la maison. Puisqu'on m'a demandé quelques photos, en voici donc.

Le rayon rideaux de douche est considérable. Je ne savais pas que UGG, la célèbre marque de chaussures fourrées, s'y était mise !

Et, comme dans tout bon supermarché, on trouve évidemment un rayon pharmacie.


Je pars vers le Chelsea Market en repassant par les rues transversales.

Malgré le manque de place, on construit toujours. L'imagination des architectes trouve toujours à s'exprimer !

Chelsea Market 

J'ai déjà publié plusieurs articles sur ce lieu, une ancienne biscuiterie devenue une galerie gastronomique branchée, aussi prisée des locaux que des touristes. Mais j'ai une commande à honorer !

Le temps du jour ne fait guère croire au printemps. Il faut y mettre beaucoup de bonne volonté !

Ces fleurs-là sont bien réelles.

La Sorcière Obèse : j'ai atteint mon but.

Je ne sais trop comment, je tombe souvent, un peu partout dans le monde, sur des équipes de Japonais en train de faire des shootings de mode.

Apparemment ce jeune homme serait un mannequin très connu. La photo est destinée à la campagne d'un créateur, que j'ignore tout autant. Il me faudra regarder à Omotesando !

Je suis à côté, ce serait trop dommage de ne pas faire le détour. Ces maisons sont un des plus authentiques rows en greek revival de la ville, avec les oeils-de-boeuf de la corniche.

Au XVIIIe, les ananas étaient un fruit exotique introuvable, un vrai symbole de luxe.

Je remonte sur l'avenue.

Voilà presque une église italienne, en style pisan.

L'artiste Kobra a réalisé dans le quartier plusieurs fresques éclatantes de couleurs. Ici il a plaisamment détournéle monument national du Mont Rushmore (mais si ! La Mort aux Trousses !)

Jour de neige, le pelletage est une activité répandue.

Il a fallu un peu m'aplatir pour obtenir le point de vue que je recherchais, mais j'aime bien le résultat.

Je passe à l'hôtel pour commencer à traiter mes photos. La vitesse à laquelle elles se chargent est déprimante. Une minute par photo à peu près !

Je ressors à la nuit (17:30) pour me rendre au théâtre.

Non, pas celui-là...

La réponse est dans le prochain article !