Journée à Vienne largement consacrée à l'Albertina et à ses expositions (Art contemporain, Photo et cinéma, le pointillisme, les gravures sur bois viennoises de 1900). Et La Chauve-Souris , Die Fledermaus au Volksoper !
Premier matin
Ce premier jour de 2017 est bien frais, -2°C ce matin et il fera -7°C ce soir, en sortant du
Volksoper.
Je suis à Vienne le 1er janvier, et non, je n'assiste pas au concert du Nouvel An, ce tube mondial, le concert de musique classique le plus suivi dans le monde entier. D'abord, c'est franchement hors de prix, en outre, les places sont presque impossibles à obtenir ; il faut les réserver un an à l'avance, ce qui ouvre un genre de loterie où on n'est pas du tout sûr d'avoir une place... Je n'y ai donc jamais assisté. Ma tradition à moi, c'est le combiné
Neuvième de Beethoven le 31/12 et
la Chauve-Souris le 1/01.
Matinée tranquille : petite promenade, préparation du repas de midi, déjeuner proprement dit.
Descente vers le centre avec toujours un ciel splendide. Passage contre le
Staatsoper qui retransmet en plein air le fameux concert du Nouvel An.
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Retransmission sur le flanc du Staatsoper |
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Retransmission sur le flanc du Staatsoper |
A l'Albertina
Pour éviter la queue, j'ai réservé les billets à l'
Albertina. Ce palais, une partie de la
Hofburg, est réputé pour sa collection d'œuvres sur papier, mais il propose aussi simultanément plusieurs expositions, toujours de grande qualité.
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Albertina, la galerie du rez-de-chaussée
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Albertina, antichambre au premier étage |
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Albertina, des urnes en porcelaine jouxtent l'escalier. |
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Albertina, un brasero dans un goût pseudo-antiquisant |
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Albertina, une salle baignée de lumière |
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Albertina, une salle au parquet superbement marqueté |
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Albertina, le salon jaune |
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Albertina, la salle des Muses |
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Albertina, la muse Erato |
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Albertina, Apollon Musagète |
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Albertina, détail du parquet |
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Albertina, les poëles en porcelaine sont demeurés intacts ( à l'angle de la pièce) |
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Albertina, le salon rouge |
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Albertina, une vue de l'enfilade de salles qui se suivent, comme souvent dans ce genre de bâtiments |
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Albertina, des décorations murales insérant des plaques de style Wedgwood |
On peut faire le tour des classiques de la maison, dont les illustres dessins de Dürer.
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dessin de Dürer |
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dessin de Dürer |
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dessin de Dürer |
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dessin de Raphaël (Raffaello Sanzio) |
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dessins de Rembrandt |
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dessins d'Egon Schiele |
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dessins d'Egon Schiele |
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dessin d'Egon Schiele |
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dessin de Gustav Klimt |
Art contemporain
La première exposition, au niveau inférieur, consiste en un panorama de l'art contemporain, où les Germaniques sont bien représentés (Richter, Rainer, Helnwein, etc) mais aussi des Américains (Lichtenstein, Katz...), d'autres Européens (Appel, et même Yves Klein). C'est un peu fourre-tout mais la diversité est assez séduisante.
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Hubert Schiebl, And Infinity beyond |
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Sean Scully, Wall of Light Pink Sea |
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Gottfried Helnwein, Sleeps 16, 17, 19
Les œuvres de Helnwein sont bien des peintures et non des photos. Difficile à croire même de près ! |
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Gottfried Helnwein, The Murmur of the Innocents 39 |
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Gottfried Helnwein, Epiphany III |
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Gottfried Helnwein, Righteous Man V (Autoportrait en gueule cassée) |
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Markus Prchensky, Red on white - Los Angeles I |
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Roy Lichstenstein, Verre et citron devant un miroir |
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Alex Katz, Anne, 1990 |
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Georg Baselitz, Kochbuch |
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Georg Baselitz, Iris |
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Victor Vasarely, Markab - Neg |
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Yves Klein, Work ANT 88 |
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Arnulf Rainer, Kreuz (Croix) |
Arnulf Rainer, toujours vivant, reste un des grands noms de l'art contemporain.
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Karel Appel, Visage dans un paysage |
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Gerhard Richter, Heidi Kuhn |
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Gerhard Richter, Abstract painting |
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Maria Lassnig, Das Wiesel und der blöde Mensch - Greifvogel - The Question about Nature |
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Maria Lassnig, Mit einem Tiger schlafen |
Maria Lassnig, peut-être moins internationalement connue, fut une fascinante artiste autrichienne qui cherchait à explorer les sensations du corps humain.
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Anselm Kiefer, San Loreto |
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Anselm Kiefer, Im Gewitter der Rosen ist die Nacht |
Photo et cinéma
La seconde, dans la galerie photographique, présente des photos de tournage ou promotionnelles, liées à des films. Il ne s'agit pas de photogrammes (images extraites de films). C'est amusant de découvrir le peuple présent sur le plateau de The Seven Year Itch (7 Ans de réflexion) pour la fameuse scène de la robe de Marylin Monroe, ou la photo, assez extraordinaire, pour Psycho (Psychose) de Hitchcock avec la chaise vide. Nombre de documents rarissimes sur le cinéma allemand, provenant largement de l'institut berlinois. C'est amusant de revoir une exposition aussi rare après celle de Barcelone, la semaine dernière.
La voie du pointillisme
La troisième est la plus courue. C'est une passionnante exposition sur le pointillisme, depuis les débuts et les recherches de Seurat et Signac, en passant par les Belges (Van Ruysselberghe est bien représenté). On découvre de bons artistes inconnus, des tableaux rares de célébrités (le choix des Van Gogh est digne d'éloges). Très intelligemment, on montre aussi la postérité du pointillisme, chez Klee ou Picasso, et ce que Mondrian en a fait.
Photos interdites, hélas. Celles-ci proviennent d'internet.
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Robert Delaunay, Nue aux flamands |
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André Derain, Waterloo Bridge |
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Achille Laugé, Mme Astre |
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Henri Martin, Toits de Collioure |
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Henri Matisse, Tulipes perroquet |
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Hippolyte Petitjean, Le Pont |
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Pablo Picasso, Danseuse espagnole |
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Camille Pissarro, Hampton Court |
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Georges Seurat, Dimanche, Port-en-Bessin |
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Georges Seurat, La Manche à Gravelines |
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Paul Signac, La Salle à manger |
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Paul Signac, Venise, Le nuage rose |
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Henry van de Velde, Femme à la fenêtre |
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Vincent van Gogh, Salle de restaurant |
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Vincent van Gogh, Le Semeur |
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Vincent van Gogh, Montmartre (gouache)
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Vincent van Gogh, La rue Lepic |
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Théo van Rysselberghe, Alice Sèthe |
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Théo van Rysselberghe, Côte de la Manche |
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Théo van Rysselberghe, Côte bretonne |
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Théo van Rysselberghe, Famille Sèthe dans le verger |
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Théo van Rysselberghe, Femme nue assise |
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Théo van Rysselberghe, Baie de Roscoff |
Les gravures sur bois à Vienne vers 1900
Très jolie quatrième exposition, consacrée aux gravures sur bois viennoises au début du XXe siècle. C'est un médium qui a connu, dans cette fulgurance bouillonnante de la Sécession, un vrai renouveau. Des artistes tels que Carl Moll, le grand Kolo Moser ou les moins connus Stoitzner ou Kurzweil s'y sont brillamment illustrés.
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Carl Moll, Villa sous la neige à Döbling |
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gravures de Carl Moll |
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gravures de Carl Moll (série La Maison de Beethoven) |
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Kolo Moser, Novembre 1902 |
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gravure de Carl Moll |
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Carl Moll, La Maison de l'actrice Therese Krones |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Marabouts - Panthères - Tigres |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Aras bleus |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Groupe de perroquets |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Trois perroquets bleus |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Deux coqs |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Dans la forêt |
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Ludwig Heinrich Jungnickel, Vue de frankfurt am Mein |
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Jozef Stoitzner, Depuis le Tauern |
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Jozef Stoitzner, Neige en montagne |
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Jozef Stoitzner, Neige en montagne |
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Carl Moser, Paon aux taches blanches |
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Franz von Zülow, Scène de vie paysanne |
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Franz von Zülow, Trois papiers découpés |
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Franz von Zülow, Gravure avec papier découpé |
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Bois gravés |
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Maximilian Kurzweil, Le Coussin |
Sortie assez tardive, et il faut se presser pour rejoindre le
Volksoper.
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Panorama depuis la terrasse de l'Albertina |
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La station de métro du Volksoper |
Die Fledermaus au Volksoper
Le Staatsoper et le
Volksoper donnent également la Chauve-Souris,
Die Fledermaus, les 31 décembre et 1er janvier. L'affiche du
Staatsoper
est plus prestigieuse mais je n'ai pas obtenu de place, à l'ouverture
de la location. Quasiment tout avait déjà été retenu, entre les
abonnements et les agences. Ce n'est pas grave, j'ai vu plusieurs fois
chacune des productions, presque jumelles malgré la grande différence de
taille des plateaux.
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Le buffet de la Galerie du Volksoper |
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Vue depuis un œil de bœuf du Volksoper sur le sapin de Noël du théâtre |
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Vue depuis un œil de bœuf du Volksoper sur le sapin de Noël du théâtre |
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Volksoper, un lustre du plafond |
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le rideau du Volksoper |
J'adore
la Chauve-Souris et à Vienne, c'est un vrai plaisir. En plus, c'est une œuvre qui profite particulièrement d'une troupe. Malgré les trois remplacements, c'est de bon niveau. Ulrike Steinsky n'est assurément pas la plus jeune des Rosalinde, mais une des meilleures que j'aie vues, avec un abattage consommé. Anita Götz chante Adele avec beaucoup de charme et de drôlerie et Daniel Ochoa, un Brésilien (et une valeur sûre de la troupe) interprète Falke avec un magnifique phrasé. Manuela Leonhartsberger remplace Ursula von der Steinen, sans être de la même envergure, mais assure Orlofsky avec métier et panache.
Le nouveau Frank, Daniel Ohlenschlager, est excellent, et le directeur de l'Opéra, Robert Meyer, renouvelle son impayable numéro de Frosch, le gardien de prison de l'acte III. C'est un vétéran qui dirige, Rudolf Bibl, avec toujours un métier considérable.
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saluts de Fledermaus |
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Anita Götz |
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Rudolf Bibl |
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Claudia Nagy (Ida) |
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Ulrike Steinsky et Thomas Sigwald, Rosalinde et Eisenstein |
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Manuela Leonhartsberger |
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Daniel Ochoa et ses enfants |
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Daniel Ohlenschlager |
Dernier retour nocturne, en marchant vite car il fait extrêmement vif !
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Une boutique de lithographie et d'encadrement qui est un de mes points de repère ! |
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La Freyung |
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l'église Saint-Pierre, donnant sur Graben |
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la colonne de la Peste (Pest-Saüle) |
Très belles gravures inconnues. Une vraie découverte ! Merci
RépondreSupprimerAlice
De rien, je les ai beaucoup appréciées moi aussi.
SupprimerDes Van Golf inconnus. Quelle découverte ! Vous avez eu beaucoup de chance de voir cette exposition. Merci pour votre Blog, toujours si intéressant. Et meilleurs vœux !
RépondreSupprimerChristine
Je suppose que Van Gogh a été victime de la correction automatique... Merci pour votre chaleureux commentaire et bonne année à vous aussi.
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