Départ de Marseille
Tout avait bien commencé : j'étais à l'heure à l'aéroport, j'enregistrais mes bagages pour New York via Istanbul. Je me renseignais pour savoir comment rejoindre l'hôtel réservé. Au comptoir de Turkish Airlines, un employé dévoué m'expliquait que ce n'était pas la peine : vu mon transit, la compagnie m'offre une nuit d'hôtel avec transfert dans leur propre navette.
Le retard de l'avion a rendu la journée plus imprévue, me permettant de passer l'après-midi dans l'aéroport.
J'ai eu le temps de discuter avec un couple de Philadelphie, enchanté par la Provence mais horrifié par la saleté de Marseille, et d'avancer ma lecture (le dernier Adler-Olsen, captivant dès le début).
Finalement nous pouvons embarquer, ce qui me permet d'apprécier la qualité des services de Turkish, à nouveau après l'été dernier.
Un loukoum pour commencer, un bon plateau repas : délicieuses aubergines confites au yaourt, corrects keftas avec du riz à la tomate, bonnes framboises à la crème, et leur excellente orange pressée. Sans oublier la grande spécialité des plateaux-repas, le fromage et les crackers.
Je regarde Spectre sur le mini-écran, parfait divertissement que j'ai le temps de voir en entier.
A Istanbul
A l'arrivée, un employé m'oriente mal et il me faut un peu de temps pour errer dans l'aéroport. Finalement je suis correctement renseigné : il faut passer le passport control pour trouver l'hotel desk, le service n'est pas assuré en zone de transit.Au guichet, les employés sont efficaces : ils prennent les cartes d'embarquement et on est ensuite appelé. On monte dans les navettes de la compagnie, direction des hôtels *****. Ca se déroule assez vite, il faut seulement bien guetter son nom prononcé de manière un peu spéciale.
La navette roule sous la pluie dans une zone très moderne où fleurissent les enseignes occidentales : Carrefour, Media Markt ( très présente dans les pays germaniques).
Je ne localise pas vraiment l'hôtel Green Park Merter qui accueille la vingtaine de passagers de la navette, mais on y est accueilli de manière très professionnelle. On m'attribue une spacieuse chambre à deux lits avec une belle salle de bains bourrée d'échantillons. J'y bois un thé tout en écrivant.
Petite nuit tout de même : demain, réveil à 3.30, navette à 4.00, décollage à 7.25.
Les aventures continuent !
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